Debout devant son miroir, Aona regardai son visage aussi pâle qu'un mort. Notre jeune demoiselle n'était pas malade, son teint était tout a fait naturel. On a beaucoup apriori sur la beauté, belle ou pas , grande ou pas, mince ou pas. Aona ne se souciait pas de tout cela, les magasines de mode, elle les laissait à sa mère. Elle avait donc rien de commun. La jeune fille se dirigea vers la fenêtre qu'elle ouvrit laissant sa chevelure d'un noir d'encre flotter dans les airs, un rayon de soleil donnant des reflets a cette coiffe qu'elle avat faite couper un mois plus tot. Ses yeux se portèrent sur le seul arbre qui trônait fièrement dans le jardin. Son regard d'un sombre marron avec cette même expression de désespoir qu'elle avait arborée depuis un an. Son petit nez légèrement retrousser donner a son visage un petit air angélique. Ses fines lèvres formant une bouche avec un rictus coincé dessus à chaque fois qu'on avait le malheur de lui parler. Ses bras fin souvent croisée sur sa poitrine cachant légèrement sa taille de guêpe. Pour ce qui ai des habits, Aona n'avait pas un énorme goût vestimentaire ! Cela faisait un an qu'elle portait des couleurs terne. Un leggins noir avec une mini jupe violette foncée et un corsée noir qu'elle cachée sous une veste cachant la moindre de ses formes. Quand a ses chaussures ses éternelle bottes noir complété une panoplie bien sombre.
Aona n'avait rien de quelqu'un de joviale ni même une personne qu'on avait envie d'approcher pourtant cette jeune demoiselle a certainement beaucoup de chose a vous apprendre.

Quand on est enfant on se dit qu'on ne nous comprend pas. Une fois adolescent, on se borne a croire que tout le monde et ici pour nous pourrir la vie. En jeune adulte on se dit que le monde des adultes est des plus inconfortable et on se loge dans le confort de se dire qu'on peut encore s'amuser. Une fois adulte, on se dit que … mince mais comment on fait nos parents pour s'en sortir ?
On ne demande pas d'aide, on a honte, on se complait dans son malheur, on espère, on sombre et c'est une fois au fond du gouffre, on a deux solutions et certaine personne ne choisissent pas la bonne. Il est très compliquer pour quelqu'un de se dire qu'on a besoin d'aide. On opte plus facilement pour la solution de facilité, celle qui prive notre entourage de notre présence.

Je ne pourrais que trop bien vous décrire le caractère de notre jeune femme mais le plus simple serais de vous en donner des brides car faut avouer qu'un fois que tout est révélé personne ne prend la peine de découvrir la personne par la suite.

On ne comprend pas forcément pourquoi les gens agissent comme ils le font pourtant c'est ce qui fait le mystère d'une personne. Aona était une enfant assez bizarre qui changea d'avis du jour au lendemain. D'un naturel très impulsive, elle suit son instinct sans se soucier des conséquences. Sincère, peut être une qualité ou plutôt un défaut cela dépend des gens. Elle parle en tout honnêteté et ne mâche pas ses mots. Elle a de l'humour mais depuis un petit moment pas beaucoup en profite. La patience fait aussi partie de ses qualité, elle ne montre pas de colère, elle donne l'impression d'une petite fille sage mais cela ne prouve pas qu'au fond d'elle tout cela bou ! Entêté c'est ce que lui rabâche ses parents, quand elle a décidée de ne pas faire quelque chose personne ne la forcera. Et je dirais pour finir qu'elle est lunatique mais cela ne fais pas partout de ses principale défaut.

Ce qu'il faut savoir sur Aona c'est que rien ne la prédestinait à devenir psychologue ce qui ne fait pas moins d'elle quelqu'un de très appréciable. Aona aime la musique, non elle adore la musique. C'est bien l'une des seule choses qui la tranquillise, la jeune fille s'évade par une simple mélodie. Elle écrit aussi, ses propres chanson mais ne les a jamais fait lire a personne. Aona n'aime pas la mode, ainsi que les boites de nuit.

Le monde n'est fait que de rêve et de cauchemars, la vie d'épreuve et de silence et la mort de peur et de désarroi ...

A cette fenêtre, je ne pouvait distinguée qu'une infime partit de la cour. C'est quand le surveillant tapa sur ma table avec la délicatesse d'un chat que mon regard se posa de nouveau sur la copie. La biologie, une matière que je ne portais pas dans mon cœur ! Le sujet ne m'inspirait pas du tout et pourtant quand la sonnerie retentit, chaque exercice avait été compléter le plus soigneusement possible. Le bac était et restera surement l'examen le plus stressant, le passage de l'adolescent narcissique, au jeune adulte aux gestes légèrement plus réfléchie. Du moins c'est ce qu'essayer de nous faire croire nos parents. L'objectif de nos paternels étaient dans un premier temps qu'on reste vierge jusqu'au mariage voir même au delà et bien sur qu'on est un boulot nous rapportant un max de blé sans pour autant qu'on dérive sur un secteur autre que celui qui les entourent. Car faut bien l'avouer, si ils peuvent nous surveiller c'est encore mieux ! Y en a qui pense naïvement que leur enfants prendront le flambeau de l'entreprise sans se soucier pour autant que l'enfant ne veut surtout pas reproduire le parcours de son père. Chaque famille a son lot de bêtise et de sujet récurant, dans la mienne c'était mon avenir. J'ai toujours dis et je le répète qu'à seize ans même avec une petite idée dans la tête on a pas une idée fixe de ce que l'on voudrait entreprendre plus tard ! Mais apparemment je n'avais pas le choix, j'étais promise a un avenir des plus glorieux ! Quoi que je veuille faire le champs qui s'offrait à moi c'était la médecine ! Le pourquoi n'échappera à personne, ma mère étant chirurgienne dentiste et mon père chirurgien esthétique mon choix de carrière était tout tracer ! Du moins c'est ce que mes parents pensaient ! Devant cette copie de biologie, je m'étais posée la question, « Que ferais je de ma vie ? », à ce moment précis je n'en avais aucune idée. C'est le soir même en étudiant ma philo que j'eus une petite idée de la réponse. Je n'avais aucun atome crochu avec la médecine au sens propre mais le comportement des gens et ce qu'il pouvait bien se passer dans leur tête m'attirais au plus haut point. Je n'étais pas ce genre de fille à restait docile et faire tout ce que l'on peut bien m'ordonner. La psychologie était surement la meilleur chose que je pouvais étudier hors je ne comprenais pas forcément pourquoi certaine personne avaient ce regain ignominie, se regard doux alors qu'au fond ils ne sont pas vraiment ce qu'ils prétendent être !
Une fois l'examen finit, je me souviens avoir eu un souffle de liberté. Je ne saurais expliquer cette sensation, ce soulagement qui vous envahie sans la moindre raison.

Il n'y a aucun sens a tout cela, personne ne comprend et personne ne cherche à savoir. Tout ses gens marche dans la rue, vous disent bonjour et regarde les même émission que vous a la télévision. Ils mangent la même marque de chips, boivent la même bière, viennent manger chez vous quand vous les invités mais ne vous son redevable de rien. Tous ses être partage votre vie sans vous donner d'importance. Le jour ou vous disparaitrez ils ne le remarqueront même pas, vous n'avez aucun sens dans leur vie. Rien n'effleure leurs petite vie bien tranquille. Ce qu'ils ne savent pas et qu'ils n'arrivent pas à se mettre dans la tête, c'est que cela n'arrive pas qu'aux autres.

Aona a était comme tout ses jeunes, elle a eut son lot de problème. La jeune femme se sert de cela pour qu'on lui accorde sa confiance. Tout le monde ne fait pas sont métier par obligation et le faire comprendre semble plus dur que l'idée même de le faire.
Le mystère plane tout de même sur cette Psychologue arrivant du japon. Après ses études et un ans de stage dans un hôpital assez morne, Aona fait sont apparition à l'autre bout du monde ! Un secret ce cache peut être la dessous !!!

Aona est fille unique, dans une famille de médecin. Son père un ancien grand chirurgien jamais présent et mort d'un cancer il y a un an. Sa mère Dentiste sans le moindre intérêt pour sa fille. Aona n'a plus de contacte avec elle. Au dernière nouvelle d'après son cousin sa génitrice se serait remarier.
On ne choisie pas sa famille malheureusement mais on choisie sa vie ...