Aaron n'est qu'un enfant. C'est le moins que l'on puisse dire. Il a quinze ans depuis peu, mais en fait trois de moins. Un petit corps qui a dépassé le stade de la finesse pleine de grâce pour entrer dans la maigreur maladive. Il ne mange pratiquement rien après tout. Ironique, pour une personne élevée dans un restaurant. Sa peau est claire, fine, s'ouvrant facilement mais, douce au toucher. Ses membres sont, comme dit plus tôt, maigres. Tellement que le garçon semble pouvoir se briser au moindre choc. Fragilité apparente. Il y a quelque chose de fantomatique dans sa silhouette. Si ce n'est ses membres-bâtons, c'est alors sa gestuelle naturellement lente qui en donne l'impression. Hors temps. Il semble hors temps. On ne peut pas lui attribuer le qualificatif de "beau". Il n'est pas moche pour autant. Il est "mignon". Ou alors "adorable". Comme un enfant. Avec sa tête ronde montée sur un cou si fin que l'on craint de le voir se briser sous le poids de son crâne. Une chevelure courte, quelques peu hirsute, d'une couleur brune, presque noire avec une frange fine passant sur ses yeux. De grands yeux d'enfant, d'un vert sombre... éteint. Son regard est éteint. Il semble absent, constamment. Les connaisseurs diront que le garçon possède un regard de mort. Son nez et petit et discret, surplombant des lèvres pâles et fines qui ne sourient que rarement. Il est absent de son corps. Neutre. Son visage n'exprime souvent que la neutralité la plus complète. Il est là, en étant ailleurs. Et pour ses vêtements? Il n'a jamais vraiment suivit la mode. Il ne s'y intéresse pas du tout. Tant est que l'on peut retrouver du n'importe quoi dans sa garde robe. De la chemise simple au sweet à la couleur pétante. De toute manière, tout semble toujours trop grand pour lui.
▬ Psychologiquement Aaron n'est pas fou. Il vous le dira. Les médecins ne lui ont pas dit qu'il était fou. Il est "fragile". C'est différent. Il a l'air apathique, et vous ouvririez sans doute de grands yeux surpris si vous voyiez son traitement. Calmants. Ce traitement renforce cet état de léthargie dans lequel il se trouve constamment. Endormi, oui, voilà, c'est le mot. Il ne faut pas non plus croire qu'il n'écoute pas quand on lui parle. Non non, il entend très bien. Tellement bien que chacun des mots qu'il entendra sera soigneusement analysé dans son esprit "fragile". Et si un seul de ses mots ne lui plait pas... C'est la crise. Il faut toujours faire attention aux mots que l'on emploie lorsque l'on s'adresse à une personne. Surtout lorsque cette personne est capable de devenir subitement violente. Mais, Aaron s'est calmé. La violence n'a pas disparue, non. Elle dort. Aaron ne parle pas. Au point qu'au premier abord, on puisse le prendre pour un muet. Pour un sourd et muet vu son expression faciale. Quelqu'un arrivera et lui adressera la parole alors qu'il fixe déjà un point, il ne bougera pas, ne répondra pas. Cela ne voudra pas pour autant dire qu'il n'a pas remarqué la personne. Cette attitude peut lui valoir de sembler hautain. Pourtant, il ne se sent pas supérieur ni quoique se soit. Juste qu'il lui faut un certain temps pour réagir et encore, seulement s'il considère que ça en vaille la peine. Partisan du moindre effort, on le prendrait pour un feignant. Pourtant, lorsqu'il s'agit de boites à musique ou de son père, il serait capable de déplacer les montagnes. D'ailleurs, parlons de son "père". Il lui voue une adoration folle. Tellement qu'elle en devient... Malsaine. C'est peu dire si on raconte qu'il le vénère. Il est son cher et tendre père. Celui à qui personne ne dira ou fera du mal. Jamais. Jamais. Ne vous avisez jamais de dire du mal de lui. Cela pourrait très mal se finir et un Aaron en colère est un Aaron dangereux... Demandez à sa "mère". En tout cas, il cherche désespérément à le retrouver. Et il ne voudrait ne jamais le quitter. Son cher père qui est si gentil. Son cher père auquel tout le monde pourrait faire du mal. C'est pour cela qu'il ne cherche pas à lier de contact, celui avec son père lui suffit. Et les autres risqueraient de lui faire du mal. Cela, il ne le supporterait pas. Aaron n'aime personne d'autre ni n'éprouve d'affection pour autre. Son père. Son père. Et seulement lui. Il considère tout le monde comme un danger potentiel pour celui qu'il admire le plus. Au final, s'il s'intéresse à quelqu'un, se sera juste parce qu'il lui rappelle son père. Une personne de substitution et il ne le niera pas. Aaron ne ment pas d'ailleurs. Il dit, le peu qu'il parle, les choses telles qu'elles sont. Il hait le mensonge à un point inimaginable. Le mensonge, c'est ce qui peut faire si mal au cœur de son tendre père. Le garçon est impassible. Constamment impassible. Il se fout complétement de ce qui peut arriver aux autres. Là encore, si on le lui demande, il le dira sincèrement. Même si vous lui annoncez que vous mettrez fin à vos jours. Oui, la seule personne capable de le faire sourire, c'est son père. Son père ou alors... les boites à musique. Ses petits objets auquel il voue une totale addiction au point qu'il en transporte toujours au moins une sur lui. Il en possède une collection assez impressionnante. Les rares fois où ses sourires apparaitrons seront sincères, comme il l'est. Il dégage l'impression d'être intouchable. De ne pouvoir être approché au niveau relationnel. Cela vient sans doute de cette barrière qu'il érige volontairement entre lui et les autres. Une barrière qui dit "Vous n'êtes pas mon père". Il n'est qu'un enfant refermé sur son monde. Un enfant qui n'est pas fou. Un enfant "fragile".
▬ Goûts: Qu'aime t-il? Voilà une question qui pourrait poser une colle. Et bien déjà, son père. C'est simple. Au niveau des personnes qu'il connait, c'est la seule. Il l'adore. Il l'adule. Il l'aime. C'est effrayant, c'est malsain, c'est comme ça. Et puis? Les boites à musiques. Il en est fou. Et pour savoir d'où lui vient cette adoration, il faut remonter à son enfance. C'était vers ses cinq ans. Il avait fait une bêtise. Il avait fait tomber un objet. Sa mère l'avait grondé. Fort. Il avait pleuré. Il ne sait plus ce qu'il avait fait tomber et casser mais il se souvient que, alors qu'il pleurait, son père avait ouvert une boite à musique devant lui qui s'était mise à jouer. Depuis, il en fait la collection. Et au niveau de ses gouts alimentaires? Disons qu'il mange de tout. Enfin, plus exactement, il ne mange quasiment rien. Mais, si on le force un peu, n'importe quel aliment lui va. Du moment que c'est comestible.
▬ Histoire Il était une fois, une histoire sur un air de boite à musique. C'était en France. Une famille. Deux parents. Un enfant de deux ans. Il s'appelait Aaron. Un accident. L'enfant devint orphelin. Alors, un cousin à lui, âgé de dix-neuf ans à cette époque-là le prit en charge malgré son jeune âge. Il avait une petite amie, alors âgée de dix huit ans. Elle aurait pu le quitter mais, décida de rester avec lui, s'occupant aussi de l'enfant. Ils l'adoptèrent. Mais, dès cela fait, il déménagèrent. Ils quittèrent la France et s'installèrent en Australie. Ils emménagèrent à Newcastle et ouvrirent un petit restaurant. Ils habitaient à l'étage au dessus. Trois ans plus tard, le couple eu une petite fille. Emily. Le petit Aaron ne semblait pas être embêté par l'arrivée de la petite. Au contraire. Il allait la voir dans sa petite chambre, la regardant par dessus son berceau en grimpant comme il pouvait, sur un petit banc. Mais, les ennuis commencèrent. Pas qu'ils n'en avaient jamais eu. Il était arrivé par moments au garçon d'avoir des... crises. Parfois violentes. Depuis tout petit. Il se mettait alors à crier. Parfois à pleurer, et ce, depuis tout petit. Sa "mère" voulait qu'il aille voir un psychologue pour enfant ou quelque chose du genre. Le "père" disait juste qu'il était un enfant très actif et qu'il n'y avait pas de quoi s'en faire. Et, bien souvent, l'enfant se calmait dans les bras de son père d'adoption qui le protégeait. Non, ces crises devinrent inquiétantes quand, un jour, Aaron était monté dans la chambre pour voir sa "sœur". Celle-ci c'était mise à pleurer, comme il arrive aux enfants en bas âge. Il avait ouvert de grand yeux, la fixant. Puis, doucement: -...Tais toi.- Mais la petite continuait de crier. -...Tais toi... tais toi...- Les cris résonnaient dans sa tête. -...Tais toi...TAIS TOI!!!!!- Et il cria aussi, avant de pousser le berceau qui bascula puis tomba sur le côté en un grand bruit. Le bébé pleurait en criant. Et lui, continuait de hurler, se tenant la tête entre les mains:-TAIS TOI!!! TAIS TOI!!!!!- La mère, alertée par le bruit, monta bien vite. Ses yeux s'écarquillèrent à la scène qui s'offrait à elle. Elle alla vite chercher la petite Emily. Par chance, elle n'avait qu'une petite égratignure, et la remit dans le berceau. Mais Aaron continuait de crier. Toujours. La mère se dirigea vers lui, l'attrapant par le poignet, elle le retourna vers elle. Le son de la claque résonna dans la pièce. Tellement fort. Aaron se laissa tomber sur le sol quand sa mère d'adoption le lâcha. Yeux grands ouvert, la tête reposant sur le plancher. Son cousin et père rentra à la maison à ce moment-là. Il ne comprit pas ce qu'il se passait. Il alla prendre dans ses bras Aaron. La femme fulminait: -Ton fils est un malade!!- Et lui, berçait doucement son petit cousin qui se laissait faire, comme une poupée, dans ses bras, la joue rougie par la claque. Après ça, la femme essaya de convaincre son conjoint d'amener l'enfant voir un psychologue. Il s'y refusait. Toujours.
Les crises se calmèrent alors qu'il grandit. Cela ne voulait pas dire qu'elles avaient disparu. Elles "sommeillaient".
Puis un jour, Aaron entendit une drôle de conversation téléphonique entre sa "mère" et... un homme visiblement. Il avait quatorze à cet époque là. Il n'osait pas lui poser de questions. Cela ne le regardait pas après tout. Mais, un soir alors qu'il rentrait de son collège, à pied, il vu à l'autre bout de la rue, sa mère. Elle embrassait un homme qu'il ne connaissait pas. Il sentit la rage commencer à le gagner. Elle trompait son "père". Son cher "père". Lui qui était le meilleur. Le plus gentil. Le plus doux. Il rentra sans se faire remarquer. Il n'en parla pas à son cousin. Il savait que cela lui ferait du mal. Cela ne pouvait que lui faire du mal. Et il ne voulait pas. Pas à lui. Cela resta donc caché. Une autre fois, un homme se présenta à leur maison. Par la porte de derrière, pas par l'entrée du restaurant. Des mois avaient passés mais, Aaron avait reconnu l'homme. Sa mère arriva juste après et lui dit de les laisser seuls. Le jeune garçon entra dans la maison alors, mais il resta proche, derrière un mur. Il entendit parler de "départ" , "quand?" , "pas encore" , "bientôt". Ils allaient partir. Cette femme allait abandonner lâchement son tendre père. L'homme partit. La mère retrouva son "fils":-Ah, tu es là!- avec un grand sourire. Hypocrisie. -Oui.- -J'espère que ce que je t'ai préparé te plaira.- Elle avait l'air si maternelle. Elle lui caressa les cheveux. Mensonge -ça ira.- -Ah et au fait, tout à l'heure, en nettoyant, j'ai fais tomber une de tes boites à musique. On la réparera hein. Ne t'en fais pas.- Brisé. Le pire de tout.
Plus tard, ils allèrent tous deux à la cuisine du restaurant. C'était fermé ce jour-là, il n'y avait pas de clients. Le père était sorti. Emily, à l'étage, dans sa chambre. La mère dit à son "fils" qu'elle allait lui donner une glace. Elle se baissa à genoux, dos à lui, cherchant dans un frigidaire au niveau du sol. Lui, son regard se posa sur le hachoir sur l'un des plans de travail. Glissement. Il marcha jusqu'à elle. -M'man.- Elle tourna la tête vers lui et n'eut le temps de crier. Son expression resta à tout jamais figé en un faciès de surprise. Le corps glissa sur le sol en un bruit étouffé. Un liquide sombre se répandait progressivement sur le sol. Les doigts d'Aaron se desserraient et se resserraient nerveusement sur le manche qu'il tenait entre ses mains. Lentement, il quitta la pièce et monta à l'étage. Il entra dans la chambre d'Emily. Pas un cri. Surprise. Aaron posa ses doigts puis sa main sur le front ensanglanté de sa sœur, immobile comme les poupées de porcelaine. Sa main se teinta de rouge. Il fixait le visage de la fille, ses yeux exorbités. Il éclata de rire. Un rire dément.
Le père rentra plus tard, dans une maison baignée d'un silence morbide. Il appela. Personne ne lui répondit. Des bruits de pas se firent entendre et il vit arriver son cousin, les habits et vêtements tâchés de sang, qui s'arrêta devant lui. -...elles ne te feront jamais de mal... jamais...- Un grand sourire fendit son visage. L'adulte ouvrit de grands yeux et courut dans la maison. Il trouva tout d'abord sa femme. Il comprit ce qui était arrivé à sa fille aussi. Il tomba à genoux sur le sol. Son fils arriva, se mit à sa hauteur et le serra dans ses bras. Il le laissa faire, choqué. Le garçon disait: -....Jamais...-Son sourire disparu alors que les larmes se mirent à couler sur ses joues. -...Plus jamais...- C'était son père. Son cher et tendre père. Celui à qui personne ne ferait du mal. Il y veillerait.
Aaron fut placé dans au centre psychiatrique de la ville. Il y a passa des examens. Il criait. Souvent. On l'avait séparé de son "père". Il ne pouvait pas non plus avoir accès à ses boites à musiques qui lui faisait l'effet de calmants. Le garçon fut placé sous médicaments. Quelques jours plus tard, c'était son anniversaire. Il reçut un cadeau de son père. Sa boite à musique qui était cassée, il l'avait réparé. Sauf le miroir fissuré à l'intérieur pour lequel il n'avait rien pu faire. Aaron était heureux. Il était si heureux. Son cher et tendre père pensait toujours à lui. Toujours. Il resta encore environ un mois au centre avant qu'il ne fut décidé une réhabilitation. On l'envoya près de Sidney, à Niwa Naishou. On l'autorisa à emporter sa collection de boites à musique avec lui. Les médecins espéraient qu'il guérirait. Il resta tout de même sous traitement, pour que ses crises se fassent les plus rares possibles. Tout le long du trajet, assit sur la banquette arrière de la voiture, il tenait la boite à musique anciennement cassée dans les mains. Il écoutait. Son regard fixait le petit miroir à l'intérieur. Un miroir qui, comme lui, resterait fissuré. Il referma la boite. La musique s'arrêta.
▬ Famille
-Lui. C'est mon père. Il est jeune mais c'est parce qu'il m'a adopté. En vrai, c'est mon cousin. Mais pour moi, c'est mon père. Il s'appelle Christian Denièvre. Il est si gentil avec moi. Je veillerais à ce que personne ne lui fasse du mal et ne se mette entre nous. Et nous pourrons être ensemble... pour toujours.-
-Ce monstre, c'est ma mère d'adoption. Adeline Denièvre, femme de mon cher père. Elle s'est moquée de lui. Elle allait le faire souffrir. Je l'en ai empêché. Plus jamais elle ne fera du mal. Plus jamais.-
-Elle est mignonne hein? C'était ma "petite sœur". Emily Denièvre. Souriante et joueuse. Je me souvient qu'elle criait beaucoup. Je n'aimais pas. Pas du tout. Cela me mettait en colère. Elle risquait de faire du mal à mon père elle aussi. Mais, c'est réglé maintenant. Tout va bien.-
♣ Le Créateur.
▬ Prénom:Huhuhu ▬ Pays:France. [donc OUI, je n'ai vraiment rien à foutre à trois heures du mat' en ce moment uu'] ▬ Comment avez-vous connu le forum ?Un ami nommé Google. ▬ Niveau Rp ?Qui se défend pas mal (avec une cuillère et une fourchette) ▬ Code: Okey by Shime~
Dernière édition par Aaron Denièvre le Lun 25 Avr 2011, 10:45 pm, édité 18 fois
Shimeku Nagashi
Messages : 746 Date d'inscription : 14/11/2010 Age : 28 Localisation : Bienvenue devant moi, étrange humanoïde °w° ! ... /BANG/ Humeur : Attention, je mords ! RAWR !
Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Ven 22 Avr 2011, 10:31 pm
Bienvenue sur Niwa :D
Enfin, du personnel! Tu as un mois tout pile pour faire ta présentation, jusqu'au 22 mai. Dépassé ce délai, on te supprime :3.
Bonne présentation, n'oublie pas de lire les règlements & de trouver le code :D.
Je préviens donc de la fin de ma fiche et que j'ai changé donc d'un membre du personnel pour un élève (Oh oui, fouettez moi maintenant, c'est légitime) Et je suppose que c'est en règle
Shimeku Nagashi
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Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mar 26 Avr 2011, 6:04 pm
Tout est bien, belle fiche nwn. Petite question pour le classer: il tuerait pour le plaisir?
Invité Invité
Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mar 26 Avr 2011, 6:42 pm
Disons que oui et non. ça serait une de ses crises (qui sont encore présente) .. mais comme ça lui ferait plaisir... Disons que oui . Il tuerait, pour le plaisir.
Dwayne Miller
Messages : 299 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 28 Localisation : Là-bas!
Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mer 27 Avr 2011, 4:16 am
Salut salut :D!
J'ADORE le personnage. Dans ta fiche, tu le joues très bien, j'ai hâte de te voir à l'oeuvre dans les RPs. Enfin, personnellement je te mettrais dans Cas graves, puisqu'il y a des crises, mais seulement quand la cause porte atteinte au paternel. Tu n'attaques pas autrui seulement pour le plaisir... c'est parce qu'ils ont attaqué verbalement ou physiquement le père. Mais bon, tu dis que lors des crises il tue pour le plaisir... sans raison? Cas dangereux, si c'est le cas.. Ou lors des dites crises il violente les gens qui blesse directement ou indirectement son père ?... enfin, éclaircit moi sur ça et je pourrais te valider.
Je me répète, j'adore le personnage!!
Bienvenue ici :)
Invité Invité
Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mer 27 Avr 2011, 6:49 pm
Disons que c'est peut-être un peu compliqué (moi même je risque de me perdre en explication Oo) Et bien il ne tue pas "sans raisons". Mais plutôt "pour des raisons que l'on ne comprend pas forcément". Mais ses raisons sont minimes. Il est calme mais, par exemple, un bruit répété peut le faire craquer. Ou un son trop fort à son gout qui dure (comme le cri de l'enfant dans l'histoire). Cela peut être beaucoup de choses , un klaxon de voiture qui se bloque. Une sonnerie... Quelqu'un qui, par exemple a le tic de faire tapoter son crayon sur une table. Même le simple "robinet qui fuit" , cela suffit. Il est un personnage instable psychologiquement et pour qui en général, le moindre détail peut le faire basculer dans une crise.
Il y a ça, et les choses qui touchent son père. Alors là, la crise est presque inévitable. Mais ça ne touche pas forcément directement son père. Comme vu dans l'histoire, il a une hantise du mensonge, cela provient du mensonge auquel il a assisté envers son père. S'il se met dans la tête que la personne qui s'adresse à lui lui ment, même si cela n'a plus aucun rapport avec son père. Et que cette sensation continue, il peut tout à fait facilement tomber dans une crise et tuer.
Au final, dans un cas comme dans l'autre, le fait de tuer ou "régler le problème" est un façon de se soulager du stress que lui imposent ses crises. Donc oui, un plaisir.
J'espère avoir été un peu plus clair ^^'
Shimeku Nagashi
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Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mer 27 Avr 2011, 7:05 pm
Ok, affaire classée. Cas dangeureux!
Dwayne Miller
Messages : 299 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 28 Localisation : Là-bas!
Sujet: Re: DENIEVRE Aaron Mer 27 Avr 2011, 7:14 pm
J'ai peur ._.
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Sujet: Re: DENIEVRE Aaron
DENIEVRE Aaron
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