Sénèque Lassa
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Date d'inscription : 23/06/2011
 |  Sujet: LASSA Senèque Jeu 23 Juin 2011, 10:55 pm | |
| ♣ Généralités sur mon moi-même.  |
▬ Nom: Lassa
▬ Prénom: Sénèque
▬ Surnom: Sen, Lassa, souvlaki (faites gaffe, c’est pas tout le monde qui peut m’appeler comme ça)
▬ Âge: 18 ans
▬ Groupe:
▬ Origine: Grecque
▬ Orientation sexuelle: hétéro
▬ Rang souhaité: J’aimerais que vous le décidiez pour moi 8D
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♣ Approfondir les choses est mon passe temps principal…
▬ Physiquement
Sur la côté, le soleil se levait… Le port était parsemé des doux rayons du soleil et Sénèque soupira amèrement en regardant l’horizon et plus précisément le petit bateau qui arrivait, les yeux plissés et le cœur se débattant. Il passa sa mince main aux doigts graciles dans son épaisse chevelure noire et mordilla ses lèvres épaisses. Une jeune vendeuse d’olives passait justement sur le passage marin. Il lui fit un clin d’œil, faisant passer ses paupières à la peau basanée sur ses iris bleus turquoise. Elle rougit instantanément et ils cru que son travail ne serait pas aussi difficile que d’autres lui avaient dits. Ses muscles saillants roulèrent sous sa chemise et il soupira. Son boss avait dit et redit que ce job était complètement décisif pour sa carrière. Le grand homme soupira et ses longs cils obstruèrent un peu sa vue. Il finit par voir le bateau arriver et son cœur sauta. Pourquoi est-ce que le bateau portait le logo de la police grecque?
▬ Psychologiquement
Le jeune homme passa rapidement en réserve toutes les issues de sortie qu’il avait. Il était ici, un kilo de cocaïne dans sa valise et les nerfs en pelote et la police arrivait. Déjà, les mecs sortaient leurs gros mégaphone pour lui indiquer de ne plus bouger. Si son boss apprenait ça! Il s’était fait prendre comme un misérable bleu. L’angoisse le prit tout de suite et il porta ses ongles à sa bouche dans un tic nerveux qui le caractérisait. Mais Sénèque Lassa était un battant… Il ne laisserait jamais la police gagner sans au moins avoir offert une… résistance. Il sortit le flingue que boss Haros lui avait donné et tira sur le bateau. Les policiers se jetèrent au sol et il prit le moment pour s’enfuir à toutes jambes, laissant la mallette sur place. Il manqua de retourner pour la récupérer mais prit ses jambes à son cou, au final. Il se cacha entre deux barils d’huile et souffla. Il révisa mentalement qui il était, comme il le faisait chaque fois qu’il passait proche de la catastrophe, ce qui lui arrivait souvent. Vrai grand séducteur, il ne négligeait jamais une occasion de séduire une femme. Mais il n’aimait pas qu’avoir des résultats, il aimait faire plaisir aux femmes, leur faire savoir qu’elles étaient toutes belles à leur façon... (Toutes reste un bien grand mot, entendons-nous)Il aimait avoir l’aspect d’un bad boy, en avoir le style et maintenant, d’en être catégoriquement un. Les femmes appréciaient ce côté de lui… Il aimait aussi secrètement les trucs intellectuels, la lecture, l’écriture et l’art. Comme tout bon grec qui se respecte, au fond. Il savait cuisiner, aimait la musique et surtout danser. Il savait qu’il tapait sur les nerfs des gens surtout parce qu’il était trop sur de lui, trop certain de plaire et que quand il déplaisait… Il ne comprenait pas. En un éclair, il vit quelques policiers passer en trombe… Ah oui, une autre facette de lui… c’était un vrai peureux de première… et ça, il essayait de le cacher.
▬ Goûts:
Sénèque partit à courir dans la rue, certain que ses pas affolés avertiraient les policiers. Il entra chez Dionysos, un bar qu’il connaissait bien et fonça vers la barman. Une femme, belle, douce et surtout enflammée comme il en avait connu peu. Il lui fit un clin d’œil et elle comprit. Elle était de mèche avec Papas Haros et le laissa passer par l’arrière boutique. Le subtil parfum de l’alcool – subtil mon cul ouais- lui emplit les narines et il frémit de bonheur… Oh oui, ça, il aimait ça. Il pécha une sucette au passage et se mit à la manger. Oh. Du sucre.
Il sortit à la course et vit le chien de garde qui lui lécha gentiment la main au passage. Cerbère, un bon gardien… Même si tous les foutus chiens d’s’te ville s’appellent Cerbère. Il partit dans la rue et regarda quand même toutes les filles avec attention, même s’il entendant les sirènes dans toute la ville. Puis il comprit avec quelques temps de retard qu’une matraque fonçait sur son pauvre crâne. Il s’effondra. Il détestait avoir l’air faible.
▬ Histoire
Sénèque leva les yeux sur sa maman. Ses grands yeux de lapis lazuli qui brillaient dans le doux soir de la petite île de Grèce. Sa mère préparait des dolmades pour la fête qui aurait lieu ce soir. Ce soir, son frère Aaron fêtait ses dix-huit ans et son mariage ce soir tandis que le petit Sénèque lui fêterait seulement ses seize ans dans quelques semaines. Il soupira et continua de boutonner sa chemise… Il sortit dehors, il faisait déjà nuit, les lumières et les bougies étaient allumés et le souffle chaud de la Grèce soufflait dans ses bouclettes. Il posa ses souliers parfaitement cirés sur les pierres irrégulières de la cour illuminée et ses yeux pétillaient encore d’excitation. Peut-être n’était-ce pas sa fête, mais il en ferait sa soirée, assurément. Déjà, les filles du village arrivaient. Il y avait déjà Helen, la femme prochaine de son frère. Il n’osa même pas la regarder. Aaron lui avait bien dit que s’il tentait quoi que se soit avec sa belle, il finirait taillé en pièce dans l’enclos des moutons. C’était, connaissant Aaron, un avertissement à prendre bien au sérieux. Plus profondément dans la cour, loin des doux cheveux, des yeux aux pourtours parfaits et des traits doux et parfaitement symétriques d’Helen, il y avait une des autres beautés de l’île… Deborah Haros. Ses longs cheveux noirs cascadaient depuis sa toque jusque dans le creux de ses reins, dévoilé par une robe blanche vaporeuse, ses longs cils épais voilant à peine son regard vert émeraude et son décolleté mettant en valeur deux merveilles du monde. Sénèque fut pendant quelques instants figé sur place. Dire que cette fille avait à peine deux jours de plus que lui alors que de cet angle, elle semblait déjà être une femme! Il s’en approcha et sourit :
- Bonsoir, Deborah.
Et c’est comme ça que, durant toute la soirée Sénèque fit montre de ses charmes à la belle. Elle rit, dansa et s’amusa comme peu de fois dans sa vie, les autres filles présentes l’enviant à un point tel qu’elles gâchèrent toutes leurs soirées… même Helen qui restait plantée à côté d’Aaron à recevoir les félicitations de tout le village. Puis vint le temps de quitter la fête et Sénèque décida de reconduire Deborah, pour finir tout ça en beauté. Elle retira ses souliers à talon et ils se mirent à marcher dans les rues désertes de son île natale, à peine éclairés par les fenêtres entrouvertes. Il la regarda. Dans la lumière de la lune, sa peau halée prenait mille teintes merveilleuses… Elle était l’une des beautés de l’île. Cela faisait des milliers d’années que circulait cette légende. Deux hommes au charme ravageant et cinq beautés par génération sur la plus petite île de l’archipel Grec. Sa mère ne cessait de lui dire qu’il était l’un des hommes de la légende… Mais pour ce qui était de Deborah, aucun doute ne planait. En arrivant au pas de la porte, elle se retourna avant d’entrer. Leurs regards fusionnèrent.
- Ce fut une magnifique soirée, Sénèque.
- Je le trouve aussi, Deborah.
- Appelle-moi Debby.
Le jeune grec hocha la tête et d’un commun accord, ils s’approchèrent pour un baiser de bonne nuit. Ce fut magique… jusqu’à temps que Sénèque se fasse chopper par le col de la chemise pour être projeté contre le sol de pierre de l’allée. Il sentit tout de suite le sang se déverser au niveau de son arcade sourcilière et gémit en se dégageant du sol, se relevant lentement… avant de se faire encore catapulter au sol par un pied cette fois.
- Alors comme ça, on fait des bisous à ma fille?
Il reconnu tout de suite l’accent étrange de Papa Haros et se figea. La beauté avait un père, et pas n’importe lequel. Papa Haros veillait sur le cartel de drogue de toute la Grèce et faisait peur même aux Italiens avec son réseau. Sénèque couina intérieurement. Il n’avait pas choisi le bon soir. Papa Haros n’était là qu’un jour sur le mois environ. Mais il était revenu expressément pour l’anniversaire d’Aaron. Il adorait le grand frère de Sen pour des raisons obscures… que tout le monde connaissait. Aaron faisait parti des dealers de l’île. Mais bientôt, son frère irait vivre sur une autre île, plus grosse, pour garantir un emploi à lui et à Helen. Papa Haros prit encore le col de la chemise de Sénèque et le redressa devant lui, le manipulant, lui un fort gaillard déjà à quinze ans, comme une poupée de chiffon. Il pointa sur lui un canon 9mm bien imposant.
- Tu veux embrasser mon autre bébé? Demanda-t-il en secouant sa face aux mille et uns replis de graisse.
Deborah roula les yeux et croisa les bras en soufflant. Elle prenait tout ça beaucoup trop à la légère. Sénèque était quand même sur le point de se ramasser une balle dans le crâne. Il pinça les lèvres et attendit la détonation. Toutes les histoires des mecs qui avaient embrassé où peloté Deborah lui revinrent à l’esprit et il déglutit. L’un s’était fait expulser le l’île. L’autre était devenu Junkie. L’autre était simplement mort, retrouvé dans le filet du port. Papa Haros ne rigolait pas avec sa fille.
- Je vais te montrer ce que ça coûte, un bisou à ma fille.
Il reprit le collet de Sénèque et le traîna jusqu’au local Haros. Pendant quinze jours, Sénèque fut battu, assommé, immergé dans des cuves d’eau assez longtemps pour qu’il voie la cape de la mort se profiler devant lui et brûlé à quelques endroits. Quand il revit enfin son reflet, quelques jours plus tard, il grimaça. Tout ça pour avoir embrassé Deborah Haros. Son œil gauche était extrêmement enflé et sur son torse, en plus des brûlures il y avait une myriade de lacérations. Son arcade sourcilière était fendue et il savait que sa jambe gauche était cassée sur l’impact d’une barre de métal. Il était ligoté sur une chaise. Papa Haros entra dans la pièce, sa silhouette plus large que haute traînant une bouteille et deux verres qu’il déposa sur une table. Un homme vint et détacha les mains liées de Sénèque. Haros remplit les deux verres et tendit l’un deux à Sénèque qui trembla sous l’effort, son corps exténué et porta l’alcool à ses lèvres. Il avait tellement soif. Mais quand il le cala cul-sec, il se rendit compte que c’était de l’huile et le recracha, encore plus assoiffé. L’eau dans lequel il avait été plongé était salée et il n’avait pas eu droit qu’à une goutte d’eau qui s’échappait d’un sac pendu au plafond. Une autre torture à la Haros. Il ricana en le voyant cracher.
- C’était un dernier petit coup pour la route.
Il prit place sur une chaise qui semblait vouloir plier sous son poids :
- Écoute, Souvlaki…
C’était le nom que bien des gosses lui donnaient à l’école.
- Pendant que mes hommes s’occupaient de ton séjour de luxe logé nourri chez moi, avec forfait massage et acupuncture (avait-il oublié de mentionner les quelques estafilades donné par un couteau qu’il avait sur le cou, le visage et le haut du torse?), j’ai repensé à tout ça et je me suis dit que tu pourrais être profitable à Papa Haros. En plus, tu as survécu aux quelques jours chez moi… Tu vois, ton frère étant parti, il me faut un nouveau dealer… ça te ferait plaisir, Sénèque?
Une autre façon de dire, en clair : « Saisis-tu cette chance de t’en aller où veux-tu que le traitement recommence? » Le brave jeune hocha vigoureusement la tête et c’est ainsi que la collaboration Haros-Lassa continua. Mais Sénèque n’avait toujours pas droit de fréquenter Deborah… mais il le faisait quand même.
Ils étaient loin du village, dans le pâturage où broutaient les moutons, sous un imposant olivier loin des regards indiscrets et des bouches trop bavardes. Cela faisait un an que Sénèque travaillait pour Haros et deux ans qu’ils se fréquentaient et se rencontraient ici, Deborah et lui. Elle tentait encore obstinément de le faire l’appeler Debby, mais il ne voulait que l’appeler Deborah.
Il roula à côté d’elle, nu comme un verre et elle aussi, leurs vêtements suspendus aux branches pour construire un paravent avec le reste du monde. Ils étaient sur une large couverture. Ça devait bien être la troisième fois qu’ils faisaient l’amour et c’était chaque fois meilleur. Il coula un regard vers le visage rêveur de sa bien aimée qui regardait l’arbre au dessus d’elle. Elle se détourna vers lui, radieuse et rayonnante. Elle se pencha pour l’embrasser :
- Sénèque Lassa… que serais-je sans toi? Je serais surement folle!
Il est vrai que Sénèque était le seul jeune homme de la ville à accepter la liaison dangereuse avec Deborah Haros… mais le jeu en valait la chandelle. Il se recula un peu et embrassa les cuisses halées de sa belle, souriant :
- Et moi, que ferais-je sans toi, ma beauté, mon amour…
Elle haussa les sourcils :
- Ne me dis pas que…
Et oui, c’était ce qu’il voulait dire.
Après leur deuxième ébat, Sénèque se rhabilla. Il avait rendez-vous avez papa Haros dans vingt minute, le temps de se rendre au village à la course. Il embrassa Deborah une dernière fois, résistant à la tentation de lui faire encore une fois l’amour et partit à la course avant de succomber. Rendu chez Haros, il eu son job pour aller livrer une bonne quantité à un bateau qui venait d’Italie. Une première… Un Italien avait décidé de ne plus s’approvisionner au pays et de venir le chercher chez Haros. Le vieux Papa avait décidé de confier cette mission à son « meilleur vendeur », Sénèque. Il se rendit donc sur le quai et attendit. Sur la côté, le soleil se levait…
C’est ainsi, assommé par un policier, que Sénèque finit dans un poste et fut arrêté. Il fut envoyé en centre de détention pour possession de drogue et vente. Il s’était ramassé un bon quatre ans… Haros le laissa un an en prison avant de s’arranger pour le faire sortir. Quand il sortit, il apprit rapidement que Deborah était partie étudier en Amérique, loin de lui. Quand il retourna dans sa chambre, il vit la lettre, épaisse de plusieurs pages, que Deborah lui avait écrits. Il la lit plusieurs fois. Elle disait, en mots simples et sans les milliers de façon de dire je t’aime qu’elle avait étalées sur les pages, qu’elle reviendrait pour lui, pour vivre sa vie avec lui parce qu’elle avait eu une discussion avec son père. Après ses études, ils seraient ensemble… ça combla le pauvre cœur de l’ex détenu dans la minute et il retrouva le sourire. Deborah et lui sans la peur au ventre, seulement eux ensemble et unis…
Puis il vit sa mère, qui lui apprit qu’elle ne pouvait plus supporter la honte d’un fils taulard sous son toit et qui l’envoyait dans une tout autre prison, l’autre côté du monde, en Australie. Une école? Mais... Donc, lui aussi ne reviendrait qu’après sa scolarité pour vivre avec son amour. Il partit, la mine un peu basse, dans les rues et courut voir Papa Haros pour s’expliquer… Quand il l’accueilli, le vieil homme avait un air dur :
- Je t’ai vendu à la police. Pour te faire la leçon. Je me suis dit que tu l’aurais plus dure en prison que dans mes appartements… et c’est vrai, d’après les quelques bonnes cicatrices que tu t’es ramassées. Tu couchais avec ma fille alors que d’autres garçons se sont fait arracher les yeux pour ne l’avoir que regardée… mais j’avais confiance en toi, je n’étais pas contre l’idée qu’elle t’a choisi. T’es un bon gars, Lassa. Mais tu tardais à m’en faire part et un bon dealer dit toujours tout à son employeur… alors il fallait que tu aille une leçon. C’était pour ça, la prison.
- Je vais partir en Australie. C’est ma mère qui m’y envoie. À la fin de ma scolarité, je reviendrai, je reprendrai le commerce et je marierai votre fille, Démosthène Haros. Je vous en fais la promesse.
Il sourit. Une expression rare chez Papa Haros :
- Tu dis mon nom à une autre personne, je te tue, petit enfoiré.
Il avait lu le nom complet de Papa Haros sur les quelques papiers qu’il avait signés pour sa libération. Il prit le prochain vol pour Sidney, un avenir tout tracé devant lui et le rêve d’une Deborah et d’un île bien à lui sur la conscience… et il sut que… durant les années qu’il serait loin de tout ça, il profiterait au maximum de son célibat. C’était bien la dernière fois dans sa vie qu’il goûtait à la peau d’autres femmes et il était certain que Deborah en ferait tout autant…
▬ Famille
Prénom : Aaron
Nom : Lassa
Âge : 20 ans
Lien de parenté : Frère
Résumé : Beau, charmeur mais aujourd’hui marié fidèle et travailleur, c’est l’homme parfait, sauf pour ses petits antécédents pas nets. Il travaille bien, aime gâter sa femme et jouer avec elle. Il veut avoir des gosses et travaille dans une usine. Il a vécu sans grandes histoires sur la petite île de Sénèque et a commencé à travailler avec Haros parce qu’il n’avait pas de difficulté à obéir aux ordres, selon papa Haros. Il n’est pas une tête mais a un grand cœur, comme son père.
Prénom : Hanna
Nom : Kostos
Âge : 40 ans
Lien de parenté : mère
Résumé : Fonceuse et travaillante, Maman Kostos est cuisinière pour la ville et fait la comptabilité pour son mari ainsi qu’elle s’occupe des ventes sur les marchés. Elle était très en demande étant jeune et a choisi papa Lassa parce qu’il était aussi demandé qu’elle. Elle ne l’a pas ménagé, forte de caractère, elle a aussi élevé ses fils avec une main de fer. Ils pouvaient déroger à la loi, tant qu’ils ne se faisaient pas prendre. Elle prônait la force de caractère et l’intelligence chez ses fils. Elle a fait don de ces deux qualités – malgré que Sénèque soit un vrai trouillard – à son plus jeune fils ainsi que ses cheveux noirs, léguant ses yeux d’émeraude à son aîné.
Prénom : Thucydide
Nom : Lassa
Âge : 41 ans
Lien de parenté : père
Résumé : Un peu effacé, il n’est pas un grand parleur. Cultivateur d’oliveraies, il a toujours été un homme de cœur et de principe qui ne brillait pas par son intelligence mais par sa simplicité et par sa bonté. Dédaignant que ses fils soient des hors la loi, il s’est muré dans un silence de béton lors de leurs premières incartades et n’en est jamais sorti depuis. Jeune, il était magnifique et a conservé cette beauté étrange avec l’âge. Il a donné ses yeux bleus mer à son fils Sénèque et ses cheveux bruns à son autre fils.
▬ Prénom: Dieu =D
▬ Pays: Canada
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Dwayne 8D
▬ Niveau Rp ? euh… dans la moyenne…
▬ Code: J'aime les melons d'eau (tooooutes les sortes /perv/)
Dernière édition par Sénèque Lassa le Lun 27 Juin 2011, 2:25 pm, édité 4 fois |
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Shimeku Nagashi
Messages : 746
Date d'inscription : 14/11/2010
Age : 28
Localisation : Bienvenue devant moi, étrange humanoïde °w° ! ... /BANG/
Humeur : Attention, je mords ! RAWR !
| | Sujet: Re: LASSA Senèque Ven 24 Juin 2011, 12:08 pm | |
| Bienvenuuuuuuuuue cher petit membre encore tout innocent ♥ (oui oui, j'l'ai décidé).
J'ADORE ton ava *w*. Si je serais pas prise, je .. /MUR/. Donc ouais, je disais ? Tu as un mois pour finir ta présentation, mais tarde pas trop hein moi je veux lire >.< Mais prend ton temps! Mais prend le pas trop... ._. /BRIQUE/
Donc c'est ça, oublie pas de lire les règlements ! |
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Shimeku Nagashi
Messages : 746
Date d'inscription : 14/11/2010
Age : 28
Localisation : Bienvenue devant moi, étrange humanoïde °w° ! ... /BANG/
Humeur : Attention, je mords ! RAWR !
| | Sujet: Re: LASSA Senèque Lun 27 Juin 2011, 2:50 pm | |
| Belle présentation :3 ! J'aime la façon que tu as fait, pour le physique, le caractère et le goût et j'aime l'histoire, surtout avec les italiens 8D.
Le code est bon et je t'envois dans les cas modérés. Tu n'es pas dangeureux, tu as seulement été contraint à en vendre mais c'est quand même de la drogue, s'pas des ballons gonflables x.x
Donc voila, et ! J'attend impatiemment un rp avec toi ? \o/ |
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