Campus Niwa Naishou
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Forum déconseillé pour les moins de 16 ans. Hentai, yaoi & yuri accepté !
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 STRAWBERRY Pixel Jade

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



STRAWBERRY Pixel Jade Empty
MessageSujet: STRAWBERRY Pixel Jade   STRAWBERRY Pixel Jade EmptyMer 29 Juin 2011, 12:22 am

FORMULAIRE D'ENTRÉ À NIWA NAISHOU
Putain, mais c'est quoi ce questionnaire débile monsieur ! Un interrogatoire, ça se fait dans une salle toute bizarre avec une lumière qui vous flash dans votre face pis avec une dizaine de policier autour de vous ! Pas dans une espèce de cage qui s'appelle cellule avec un papier et une feuille... Pfff !

Oui oui oui ! C'est bon, j'me tais et j'remplis.

NOM DE FAMILLE? Strawberry. Strawberry qui, en français, veut dire fraise. Donc si je me fit à mon fabuleux bilinguisme ... Je m'appele Pixel Jade Fraise. Hum. Ce nom me provenant de son père, j'aimerais malgré tout qu'on évite de m'appeler Fraisinette.
PRÉNOM(S)? Pixel Jade. Je vous en pris, tuez les deux personnes qui ont décidés de me donner ce nom qui me suivra malheusement, le reste de ma vie ! ... Oh, j'avais oublié que c'était déjà fait. Je le répète, je ne suis pas ce qu'il y a en x copies dans votre écran !
SURNOM(S)? Fraisinette. Pixou. Fraise. Plusieurs surnoms ont été utilisés jusqu'à présent pour m'appeler. Fraise et Fraisinette me venant de mon nom de famille, j'aimerais que vous évitiez les jeux de mots débiles avec Pixel... Cependant, je ne refuse -presque- aucun surnom sans jeu de mot! Pourquoi pas. Oh, aussi. On m'a déjà appelée « L'Étrangère » et « Bleuet humain » ... Sans commentaire.
ÂGE ET DATE DE NAISSANCE? Seize ans. Seize ans que je suis née. Seize ans que je passe mon temps à me faire chier, et encore plus là, en ce moment, en écrivant un gros paragraphe pour deux mots. Et toi, cher policier, en cher con que tu es, tu lis tout ça. Haha.
NATIONALITÉ? Australienne. Par contre, j'ai vécu toute ma vie en Italie. Ne me le demandez pas, oui je parle italien. Et oui, je parle anglais ET italien. Avouez. J'suis genre Dieu hein. Ne me demandez pas non plus ce que je fais dans ce pays de ... Dans ce magnifique pays, je l'ignore. Mais je me suis beaucoup attachée à l'Italie, c'est juste presque le meilleur pays. Hein.
ORIENTATION SEXUELLE? Pure hétérosexuelle. Moi, j'aime les gars. Le sexe opposé. Leur pénis quoi ! Mais ... Euh... Aussi la personne, hein. Surtout. Par contre, toi, pense pas que tu as une chance, t'es comme pas dans mes gouts du tout. Trop vieux, trop moche, trop ... trop.. Trop policier, quoi.
GROUPE ET RANG Pour le groupe, cas grave. Elle n'irait pas tué n'importe qui dans la rue par simple plaisir, hein. Elle a plutôt fait ça sous l'emprise de l'alcool et de la haine. Pour le rang, bah plus tard.

PHYSIQUEMENT?
Mais putain monsieur, vous pouvez pas me laissez tranquille ?! Quoi! Je dois absolument remplir touuuut ça pour me laisser partir ? Pfff... Bon, d'accord.

Tout d'abord, nous allons commencer par le haut de mon corps, ma tête. Ma tignasse est d'une couleur non naturelle que hum... Vous allez probablement savoir pourquoi plus tard. Laquelle ? Bleu. Ouais, bleu. Moi, personnellement, je trouve ça cool! Mais ça n'a pas plus à mes parents. Normal, ils étaient vieux. Démodés. Mouais bref, c'est ma description et pas la leur. J'ai les cheveux longs, doux, soigneux. Je prends soin de mes cheveux car c'est la partie de mon corps dont je préfère, n'allez pas me demander pourquoi. Les peigner, c'est long car ils m'arrête à mi-dos. Mais, je le fais quand même. En même temps, je n'ai pas trop le choix si je veux qu'ils restent beaux comme ils le sont présentement. La plupart du temps, je ne les attachent pas, les laissant simplement à l'air libre, au vent.

Si on descend un peu, vous pouvez voir mes yeux. Miroir de la pensée et de l'âme. Pareil comme mes cheveux; c'est-à-dire de la couleur de la mer, de l'océan, du ciel et de millier autres choses. Bleus. Encore une fois. Si on poursuit l'ascension vers le bas, vous pouvez apercevoir une nez fin, légèrement retroussé ainsi qu'une bouche aux lèvres un peu pulpeuse quand ils viennent à être embrassées. Mes joues peuvent facilement rosir dans des situations embarrassantes ou gênantes. Ayant très souvent un air innocent affiché au marqueur indélébile, j'ai l'air d'un vrai petit ange. Mais, ce n'est pas pour le moins que j'en suis une !

Deuxièmement, mon corps. Attention, naine en vue ! Je mesure un mètre cinquante trois, juste à la bonne hauteur me direz-vous ? Mwahaha, non. Faudrait que je sois plus petite pour cela ... Pour ma taille, devinez-vous que je suis assez un poids plume ? Bah, vous avez raison. Plus poids plume que moi, bah, tu meurs. J'ai aussi des formes ouais comme tout les humains de sexe féminin, ou presque. Si on enlève les hermaphrodites et les travestis. Pas trop grosses, on ne les confonds pas avec des montagnes. Je les trouves de tailles correcte, comme la plupart des gars, aussi.

J'ai des petites jambes fines. Petites, il faut le préciser parce que je n'ai pas du tout les jambes d'un mannequin, nan. Mais ça n'empêche pas à ma peau d'être lisse, douce et presque sans défaut. Une peau de bébé, disait ma mère. Par contre ça a ses défauts, comme le fait que je n'arrive pas à bronzer à cause de ma peau qui est très blanche et très sensible. Mais, elle est douce ! Pas du tout rugueuse.

Côté vestimentaire, je mets de tout. Cependant, je privilégie le côté emo/rock/glamour. Tout ces affaires là, quoi. Jambières, jupes, camisoles (débardeurs), t-shirt avec des noms de groupes ou bien des trucs comme Yoshi ou etc. Je n'aime pas les talons hauts, je ne suis même pas capable de marcher avec ! Je préfère de loin mes vieilles converses ou des runnings shoes. Truc confortable, quoi. Si je ne suis pas avec une jupe, alors je serrais simplement avec un jogging baggy ou un pantalon de pyjama. Côté maquillage, je préfère me tenir avec le mascara et le eye-liner tout les deux noir, c'est tout.

M'enfin, vous êtes content ? N'empêche vous aurez simplement pu me regarder, hein !

    PSYCHOLOGIQUEMENT?
    Encore ces conneries débiles que vous m'obligez à remplir ! Rah et puis, j'veux même pas aller à ce campus de merde !

    Mais comme je suis obligé de le faire, je vais le faire, ENCORE une fois ! Je vais commencer par mes qualités. Attention, y'en à pas beaucoup ; spontanée, honnête, ouverte d'esprit, créative, imaginative, sensible, Maintenant mes défauts, attention on peut dire que y'en a un paquet ! Impatiente et impulsive, légèrement timide, pas du tout ponctuelle. Je suis aussi plutôt solitaire et maladroite. Je veux aussi avoir le dernier mot, souvent. Excessivement secrète.

    Honnête, je n'hésite pas à dire ce que je pense. La vérité. Le font de mes pensées. Mais quand ça fait trop mal, je préfère m'abstenir. Je n'aime pas faire mal aux autres. Je suis aussi ouverte d'esprit, je m'explique. J'aime apprendre, que ça soit connaître les différentes religions, les cultures ou tout simplement accepter l'homophobie et les trucs de ce genre. Créative et imaginative, ouais c'est certain. J'ai tout pleins d'idées les plus folles les unes que les autres. D'ailleurs, mon rêve serait de nager dans une piscine de Jello. C'est bon, le jello. J'peux pleurer à un rien, je suis trop sensible. Genre, les films trop romantique, là. En vrai, quand je veux pleurer je me mets dans un endroit où les autres n'auraient aucune chance de me trouver pis me voir pleurer. Je dis bien, aucune chance hein !

    Étant impatiente, je n'aime pas attendre des choses ou certaines personnes, genre. Par contre, les autres, eux, m'attendent souvent car je suis jamais à l'heure. On peut dire que je ne suis pas du tout ponctuel. Pas du tout. Maladroite, je fais souvent toutes sortes de gaffes les plus stupides que les autres, genre foncer dans une poubelle juste devant moi dans un endroit publique. Je n'aime pas me ridiculiser et avoir honte, c'est normal, nan ?

    J'aime avoir le dernier mot. Avoir raison. Même si j'ai tords et que je le sais, j'affirmerais quand même avoir raison simplement pour éviter d'avouer que j'ai tords. Stupide ,hein ? Je n'ai jamais dis que je l'étais pas, en même temps. Par contre, je cache mes secrets. Je cache mes émotions. Je cache mes sentiments. Je cache presque tout. J'aime pas le fait qu'on me prenne par pitié parce que je ne me sens pas bien ou que... Ou que. Ou que, rien. M'enfin, c'est à peu près ça.

    Bien sûr tout ça n'est qu'une partie de moi, je n'ai pas tout dis. Mais je vous avertie, j'ai seulement l'air innocente car je suis loin de l'être. Mais ça, chut hein. Pas la peine de vous méfiez de moi, je ne vais pas vous mordre. Quoi que ... Ouais, peut-être. Je le fais assez souvent, je sais me battre et me défendre.

    Voila, petit formulaire. Une partie de plus de remplie, il me reste plus... Que ma vie à raconter ! Génial... Et vive le sarcasme.

CÔTÉ GOÛTS?
Hum. Avant dernier machin à remplir, hein ! Donc donc donc, mes goûts ? Bah ouais, y'a des affaires que j'aime, tout comme toi. Pis des affaires que j'aime pas, encore tout comme toi.

Quoi ! Il faut que je les dises, en plus ? Bah c'est personnel c'est choses-là hein ! Quoi, ça ne l'est pas ... ? Mmh. Okey. Bon, pour pas vous faire une liste longue de deux kilomètres, hum. Je vais y aller plutôt rapidement. J'aime chanter. J'aime faire du piano. Ça, c'est ma passion. Tout ce qui touche à l'art de la danse et celui de la musique. Composer des chansons, ils sont nuls ouais. Je suis pas tellement une poète dans l'âme, je suis pas parfaite. Désolée de briser tes rêves, surtout, hein.

Ce qui concerne les gars ; beaux, sympathiques, gentils. Je veux aussi qu'ils aillent le sens de l'humour et que ses blagues soient genre, drôles. Parce que tu sais, faire semblant de rire, c'est pas tellement mon fort. J'aime pas attendre les autres. Ni les araignées et autres insectes dégoutants. Mais. J'aime les serpents, les lézards. En général, j'aime beaucoup les animaux. J'aimerais avoir un loup, un lion et un renard.

Je n'aime pas l'école, je n'aime pas qu'on m'oblige de faire des choses mais parfois je n'ai pas le choix donc je le fais malgré tout. J'aime mes amis. J'aimais mes parents même si à présent, je n'ai plus de famille, je le vis quand même assez bien. M'enfin, d'après moi hein. D'après moi. 


QU'AVEZ-VOUS FAIT?
Ce que j'ai fais. Hum. Là, je suis vraiment obligée de remplir ? Pfff ! Nan mais vraiment, c'est quoi toutes ces questions sur toi. C'est juste un campus idiot, pas le quartier général du FBI ! Hé, non calme ! Frappe pas ... J'écris, j'écris. Voila.

Je vais commencer par la rencontre de mes parents. En Italie. Mon père était genre en pleins voyage humanitaire pour aider les démunies en Italie. Mon père, c'était un homme bon. Quand on y pense. Mais pas trop, sinon je n'aurais plus de raison de l'avoir tué. Ma mère, c'était pareil. C'était une belle femme, une australienne, tout comme mon père. Belle, grande, intelligente. Une parfaite mannequine qui ne l'est pas. Ces deux-là étaient dans le même groupes et d'après ce qu'ils ont dit, ils ont tombé en amour avec la langue italienne, le pays, la culture, les villes et tout quoi. Mais aussi ensemble, surtout. Sinon je vous raconterais ça pour totalement genre, rien. Je serais même pas là mais surement encore dans les testicules de mon ... de mon père. Ark.

Donc je disais, deux ans plus tard je suis née. Ils se sont établis près de Rome, dans une genre de banlieue qui ne l'est pas. Une petite ville ou un grand village, comme tu veux. Mais je n'étais pas la seule à naître, il y avait aussi mon frère. Mon jumeau. Mon meilleur ami. Mon confident. C't'humain là, bah il était tout pour moi. Et même plus. La seule personne à qui je pouvais me confier et qui me rejetais pas. Genre, la seule. Il s'appelait Dereck. Moi, Pixel. Pourquoi ils ont choisi un nom inhumain pour quoi, pis pour lui un nom totalement normal, du genre humain ? Le miens je le trouve plutôt du genre extraterrestre ou, si vous préférez, alien. Sauf que quand je suis née, je ressemblais moins à un OVNI parce que je n'avais pas les cheveux bleus, mais genre bruns.

En grandissant, j'étais très près de mon frère. On se tenait toujours ensemble, ayant le même âge. Moi j'étais très axée côté musique et lui, côté sport. On se « complétait » si on peut dire. M'enfin, d'après nos parents hein. Il y a même certains qui croyait qu'on sortait ensemble, tellement que nous étions proche. Mais genre, ta gueule ? Mmh. Quand j'ai nous avons eu onze ans, Dereck a commencé à être malade. Un jour, il a craché du sang. Puis un autre jour, s'est évanouie. À cette age-là, je ne comprenait pas grand chose. Je m'en voulais de ne pas cracher du sang tout comme lui, je ne comprenait pas puisque dans ma tête, je devais avoir exactement la même chose que lui puisque c'était mon jumeau.

Malheureusement, la vie n'est pas faite ainsi. Il a commencé à passé beaucoup beaucoup de temps à l'hôpital et moi, toujours rien. Pendant ce temps, je chantais, j'apprenais le piano. Je devenais de plus en plus meilleure. Mais mes parents ne me félicitaient plus pour mes performances genre, sûrement plus occupée par l'état de santé de mon jumeau quoi. À treize ans, j'appris qu'il avait le cancer. Il se battait pour sa vie. Je me battais pour la sienne. Même si je savais que je me battes ou pas n'allait rien changer. Je ne croyais pas aux miracles, comme j'y croirais jamais.

Deux ans passa et j'avais maintenant genre quinze ans. Un jour, j'étais à l'école bien tranquillement. On m'appela au bureau du directeur. Il avait mes parents au téléphone. Ils me disaient de venir immédiatement. Apparemment, Dereck n'allait plus bien du tout, pire que jamais. Il n'allait pas pouvoir se battre pour sa vie. D'après les médecins. Mais moi je le savais, il s'en sortirait. C'était sûr. Il ne pouvait juste pas me laisser. Pis, lui il était hulk ! Il allait s'en sortir plus fort qu'avant, hein. Je me rendis donc à l'hôpital. Là, était mes parents, les médecins et ... lui, plongé dans un coma profond. Pourtant, la veille après l'école j'étais allé le voir et il avait l'air en « pleine forme ». En tout cas, il avait le sourire aux lèvres et les yeux pétillants de vie. Que s'était-il passé ?

Mmh. Je m'étais mise à pleurer. Sans attendre d'explication. Je le savais. Je le sentais à l'intérieur de moi, son cœur faiblissait. Son cœur ne pouvait plus supporter la vie. Ni la contenir. Il s'en allait tranquillement vers la mort. Mes parents me mis au courant de leur décision : débrancher la machine et arrêter les traitements qui genre, le maintenait en vie. Je suis pas experte en ces trucs là donc je ne connais trop trop les noms. Sans me demander mon avis. Et, surtout ... Sans celui de mon frère, de mon confident, de mon meilleur ami et de mon jumeau. Sans l'avis de Dereck, quoi.

Ça se faisait demain. Une colère profonde commença à naître dans mon cœur. Je passa la nuit au près de lui, bien blottit dans ses bras. Incapable de m'endormir. Au milieu de la nuit, je cru entendre un faible Je t'aime. Une illusion ? Je continuais à croire que non. C'était lui. J'avais fini par m'endormir au petit matin, à bout de larmes. Quand je me réveilla, il était froid. La machine ne marchait plus. Elle était éteinte. Mais son cœur continuait à battre. Mes parents me dirent qu'il ne battrait pas longtemps sans ces trucs qui le tenait en vie. C'est ainsi que deux heures et vingt-sept minutes après cela, il nous quitta. Il me quitta.

Douze décembre. La colère n'arrêtait d'augmenter. Pourquoi ? J'étais sûre qu'il aurait pu sans sortir. Sûre et certaine, ils n'avaient pas le droit de faire cela sans son avis. Si Dereck aurait resté parmi nous, il aurait plus souffert qu'autre chose. Passer sa vie à l'hôpital, personne ne le souhaite. Et encore moins lui, il préfèrerait aller dehors et faire du sport, dormir dans son lit et non dans un lit d'hôpital, etc. Peut-être. Mais malgré moi, la colère s'atténuait pas et la haine embarqua. Ils n'avaient pas le droit. Ils n'avaient pas le droit. Ils n'avaient pas le droit.

Depuis ce jour, plusieurs psychologues m'ont vu. Elle est énormément troublée par la perte de son jumeau. Elle s'est beaucoup renfermée sur elle-même, elle a besoin de beaucoup de soutient et d'aides. Je n'allais plus à l'école, tout ce que je faisais c'était chanter. Jouer du piano. À pleins temps. Je commençais à composer des chansons par moi même. Triste. Déprimantes. Suicidaire, presque. Il faut veiller qu'elle ne veuille pas le rejoindre. Les jumeaux sont connectés. Depuis la mort de Dereck, c'est comme si la moitié d'elle était tout simplement morte. Des conneries. Je ne les écoutais pas. Même si c'était vrai quoi. Mais je ne voulais pas me tuer, non. Malgré que l'idée m'aie traversée l'esprit quelques fois, oubliez ça.

Deux mois plus tard, j'étais invitée à un party. Ma meilleure amie. Elle voulait me remettre sur les pieds, que j'arrête de restée enfermée dans ma chambre. Je ne pleurais pas. Non. Je n'avais plus de larmes depuis bien longtemps. Je haïssais. Mes parents. Les médecins. L'hôpital. Et puis, je m'était teint les cheveux en bleus. Il lui faut du changement. Pourquoi pas déménager ? Si elle ne s'en remet vraiment pas, il faudrait songer à l'envoyer à Niwa Naishou. C'est un campus qui se trouve en Australie. Cet endroit pourrait énormément l'aider, je vous le jure. Australie. Malgré que c'était leur pays d'origine, et que j'étais Australienne, mes parents avaient bannis cette idée de leur tête. Heureusement, pour moi. Ils m'ont donc laissée me teindre les cheveux en bleus.

Ouais donc je disais ? Le party. Ce soir-là, j'y suis allée. Nul. Plate. Mais je m'étais quand même amusée. Mais pas trop quoi. Lorsque j'avertis ma meilleure amie que je partais, elle me laissa faire, comme désespérée que son idée ne marcha pas. J'étais désolée pour elle. Au coin d'une rue, un gars est venu me voir. Beau, grand. Comme je les aimes, au premier regard. Il essaya de me vendre de la drogue. Il était deux heures du matin. Non merci, je veux pas essayer ça. Il laissa aussitôt tomber, et commença à me parler. Surprise ? Ouais. Mais je le laissa faire.

La semaine suivante, on s'est revu. Et ainsi de suite jusqu'à ce que notre premier baiser fut échangé. Je l'aimais et je pense que, lui aussi. Deux mois plus tard, ma haine n'avait cessée de croître. Je ne parlais plus à mes parents. Les regardaient plus. J'étais sans cesse hors de chez moi, à croire que j'avais déménagée chez ma meilleure amie. Elle commença à croire que j'allais mieux puisque je recommençais à sourire et que je m'étais fais un copain. Il faisait parti de la mafia italienne. Oui, vous avez bien lu. Je n'avais jamais aimé ces trucs-là. Jamais. C'est pour ça que je lui avais dis que s'il voulait resté avec moi, qu'il n'essaye pas de me droguer ou de s'en prendre à mes amis ou mon entourage.

Un jour, je lui ai raconté ce qu'il s'était passé. Mon frère et tout. Je les haïssais, mes parent. Dans un vague murmure j'avais prononcé genre Si je pouvais les tuer, je le ferais sans hésitation. Comme ça. Des paroles innocentes, me direz-vous. Eh bien non, c'était bien des paroles réelles. Par contre, il me répondit Pourquoi pas, tu peux toujours. J'avais rapidement changée de conversation, mais ces paroles étaient restés gravées dans ma tête.

Presque un an après, j'ai atteint mes seize ans. J'étais retournée chez mes parents, mais je les haïssaient toujours. Un sourire sur mon visage suffisait à les laissez croire que j'allais beaucoup mieux et que je les aimais. Ce qui n'était pas le cas. À peine un mois plus tard, je me chicana sur le même sujet avec mes parents. Ils était neuf heures du soir. Je partis en mauvais état de chez moi pour me promener et me calmer. Je n'y arrivais pas. Je me rendis chez mon copain - oui, je sortais toujours avec - puis on écouta un film. Il me dit qu'il voulait arrêter ses conneries et déménager avec moi, lorsque nous allons avoir dix huits ans. Je lui ai souris, lui disant simplement combien je l'aimais. Puis, un peu plus tard je lui demanda un fusil.

J'étais saoul. Mais complètement consciente de mes gestes. Il ne voulait pas. Mais il l'avait dans sa main. Il voulait savoir ce que j'allais faire avec. Je ne voulais pas lui dire, puis on commença à se chicaner. Je lui arracha des mains. Puis. Je tira. Ensuite. C'était silence. Il était tombé sur le sol. Je l'avais tué. Lorsque je réalisa, je me mis à pleurer. À crier. Ma meilleure amie me cherchait. Mes parents aussi. Il était rendu près de trois heures du matin. Lorsqu'elle entra, je sauta dans mes bras. Elle commença à crier, me traitant de folle, de tueuse. De pleins de noms.

Je tira une autre fois. Une folie étrangère s'était emparée de moi. Cette folie avait un nom ; haine. Puis je partie en courant, ignorant les sirènes de polices en me faufilant dans les ruelles et les petites rues que je connaissais par cœur, me rendant jusqu'à chez moi. Deux autres coups. Ils tombèrent aussi. Puis, je me rendis. Une folie meurtrière. Une folie étrangère. De toute façon, les policiers étaient rendu en face de chez moi. Aucun moyens de m'enfuir. De toute façon. Où aller ? Je n'avais plus nul part. J'étais un monstre, un alien, effectivement. Un alien appelée Pixel. Une meurtrière. Mmh.

À partir de ce moment là, on me plaça en prison pour jeune. On ne savait pas quoi faire de moi. Je n'avais pas dix huit ans. Je refusais de parler à tout le monde. Je me renfermais, je ne parlais plus. Mais je chantais toujours. Un jour, ils me mirent dans une cellule de prison vide puis me donna un papier. Ils avaient décidés de m'envoyer dans mon pays d'origine. Australie. Campus Niwa Naishou. Ils avaient décidés d'écouter les psychologues d'un an avant, puisqu'ils ne savaient pas que faire de moi et que mon cas était quand même... grave ?

C'est pourquoi aujourd'hui je remplis ce stupide formulaire qui sert à presque rien. Mmh. Sous mes airs d'ange innocente, je suis loin d'en être une. Oublie le pas, hein.



PRÉNOM? Devine-le.
PAYS? Canada.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Une amie qui s'inscrit bientôt.
NIVEAU RP? Euh. Évaluez-moi.
CODE? Code bon by Shime :3

Revenir en haut Aller en bas
Shimeku Nagashi

Shimeku Nagashi

Messages : 746
Date d'inscription : 14/11/2010
Age : 28
Localisation : Bienvenue devant moi, étrange humanoïde °w° ! ... /BANG/
Humeur : Attention, je mords ! RAWR !

STRAWBERRY Pixel Jade Empty
MessageSujet: Re: STRAWBERRY Pixel Jade   STRAWBERRY Pixel Jade EmptyMer 29 Juin 2011, 5:18 pm

    Bienvenuuue nwn.
    Donc, ta fiche est correcte, je te mets dans cas grave. Ensuite, le code est aussi correcte.

    Donc bon jeu, n'oublie pas d'aller te demander une chambre et, bon rp *w* !

    Shimeku ♥
Revenir en haut Aller en bas
Misaki Tsuya
Life is short ▬
Misaki Tsuya

Messages : 1063
Date d'inscription : 22/06/2011
Age : 30
Localisation : Là où tu n'es pas.
Lien de présentation : Sûrement ici.
Relations & Rps : ♂ Play with me ♀
Humeur : Tout dépend de toi, très cher.

STRAWBERRY Pixel Jade Empty
MessageSujet: Re: STRAWBERRY Pixel Jade   STRAWBERRY Pixel Jade EmptyVen 01 Juil 2011, 11:31 am

Bienvenue Pixel :)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




STRAWBERRY Pixel Jade Empty
MessageSujet: Re: STRAWBERRY Pixel Jade   STRAWBERRY Pixel Jade Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

STRAWBERRY Pixel Jade

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Dans la joie et la bonne humeur ! ( PV PIXEL :p )
» FRÄULEIN, Jade.
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Campus Niwa Naishou :: ADMINISTRATION :: Fiches d'identité :: Fiches Archivées-