Des rires, des cris, signes de fête dans les couloirs des dortoirs. Recroquevillée sur son lit, Haine ne tenait pas à participer à ces festivités, et fixait le paysage à travers la fenêtre d'un regard vide. Instinctivement, sa main se balada sous son matelas, heurtant alors une petite boîte. L'obscurité régnait dans la pièce. Ses colocataires étant parties un peu plus tôt dans l'après-midi, Haine était seule. Une fois qu'elle ouvrit la boîte, elle se rappela aussitôt qu'elle n'avait plus rien et s'empara de son téléphone.

Une heure plus tard, elle s'enveloppa dans un yukata aux couleurs d'automne, l'été étant déjà bien installé à Sydney. Haine releva la tête, noua ses cheveux en une queue de cheval, enfila ses chaussures et prit son petit sac en tissu. Comme d'habitude, tous les regards se posaient sur elle. Après tout, qui s'habillait uniquement en kimono de nos jours, surtout dans un pays qui n'est pas le Japon ?

Une fois sur le lieu du rendez-vous, soit l'entrée d'une ruelle peu éclairée, Haine s'adossa contre un mur et attendit. Elle n'avait plus le moindre cachet d'ecstasy sur elle, et sa dose lui manquait. Ne plus être en contact avec son frère Jun et broyer du noir ces derniers mois n'arrangeait en rien son état, la drogue était donc le seul moyen pour la petite japonaise de s'évader un peu de cette endroit ignoble qu'était le Campus Niwa Naishou. Elle n'aimait pas cette endroit où elle vivait, elle ne l'avait jamais aimé. Cela avait un peu changé lorsqu'elle s'était fait un ami, mais le destin avait décidé que c'était bien trop beau pour elle. Il était mort. Et les bonnes résolutions de Haine étaient dès lors enterrées.

Elle regarda une fois à droite, puis à gauche, mais son dealer ne venait pas. S'était-il fait attrapper ? Elle en doutait. Tripotant une mèche de ses cheveux ébènes entre ses doigts, la jeune fille s'impatientait. Elle fixa alors les décorations de Noël au-dessus de sa tête, songeant que dans son pays, cette fête était très peu valorisée, car il n'y avait pas vraiment de chrétiens au Japon. On la voyait plus comme une fête amoureuse, comme la St Valentin ou le White Day. Pas comme une occasion de réunir sa famille et de s'offrir des cadeaux. Tout était si différent en Australie, et malgré les quelques années passées ici, Haine ne s'adaptait pas.

Ce fut alors qu'un grand garçon, aux cheveux en bataille, arriva dans la rue. Etait-ce bien son dealer, ou non ? Haine ne savait pas vraiment, mais elle avait suffisamment attendu et voulait ses petits cachets colorés. Elle voulait planer, changer d'air. Rapidement. Elle lui fit alors signe, accompagnant le geste d'un petit sourire, avant de s'engouffrer dans la ruelle sombre, espérant qu'il la suive. En entendant les pas du garçon résonner à sa suite, elle fut convaincue que c'était bien lui qu'elle attendait.

« Ça fait un moment que je t'attends. Tu as les M&Ms ? »

Elle planta alors son regard dans le sien, cherchant ce qui pouvait s'y cacher. Son visage ne lui disait pas grand chose, Haine finit par avoir un doute sur son identité.

William soupirait coucher dans son lit en boule, ignorant la fête qu’il y avait a l’école. La fête des amours… s’était rien pour le mettre dans un meilleur état, Ayumai étant parti le jeune William était seul démoraliser, le contacte de son corps, du corps de son ancienne déesse le m’était dans tous ses états … en vérité il manque non pas de Ayumai en particulier, mais du corps dune femme aimante. Ses se qui le soignera. Ses pensais avait noircie et Will voyais de plus en plus sombre il se mit en petite boule et renifla les draps.

*Qu'est-ce que je fais encore ici , dans cette chambre, dans ses draps. Ayumai était parti, son odeur pourtant restait dans ses draps… je pouvais plus m’en passer. Elle est partie si vite …*

Ayumai était la semaine passer … sa fessais maintenant trois moi que Will sortait avec la jeune femme… elle a été libéré et fut ramener chez elle… le psychologue jugeant quelle était soigner , Will eu droit a un bisou un câlin pour après quelle décide de le plaquer … pour des raisons que le jeune homme ignorait. Voilà ce qui s’était passé. Il se leva après un moment et sortis s’habillant dune tenue simple sois jean bleu tee-shirt noir manteau de cuir de la même couleur. Il marcha lentement fixant le sol regardant pas ou il allais tournant a droit puis à gauche s’enfonçant dans la ville.

Il vis alors une jeune femme de Niwa tout le monde la connaissais par la jeune femme aux kimonos il lui sourit, lorsqu’elle lui fit signe de venir et de la suivre Will rougie et détourna le regard il mordilla sa lèvre puis soupira et la suivie lentement dans la Ruel. Il sourit lorsqu’elle parla de M&Ms Will rigola doucement pensant

*La fille aux kimonos en es rendu la … ses presque pitoyables… j’ai autant de raison quelle sinon plus de vouloir de cette merde et j’y touche pas … elle est idiote *
-Tu trouve pas que ta assez de neurones d’éclater petites, si ta des problèmes va te souler ça va te couter moins chers … et tu va avoir l’aire moins pitoyable qu’avec ses pilules…

Will avais dit cette phrase dune vois sombre et froide pourtant un sourire en coin illuminait son visage a croire qu’il se jouait d’elle… en fait ses se qu’il fessait. Le problème réside dans le fait qu’il s’attaquait a plus forte que lui et sa , William l’ignorait.

William la regardait toujours le regard sombre il l’écouta parler quand soudain elle le pris par le col et le rapprocha de lui … il se contenta de sourire de rigoler quand elle fini par continuer de parler son rire s’arrêta il serra même des dent et se retenue pour ne pas la frapper il attendit quelle le lâche et fue légèrement propulser contre le murs . Il détourna le regard tentant de garder contre de ses émotions même si celle-ci était de plus en plus grand vue les parole quel lui jettais aux visage, il soupira serrant les poing et se rapprocha d’elle .
*elle ose parler de ma mère, la petite criss … je vais la tuer … *
Will serra des dent une voie portant une main a son collier le manipulant , le tripotant pour se calmer. Elle pu voir le point sensible quel venais de toucher il remis son masque d’homme indifférent , mais évidement de la rage et la tristesse était en lui. il fini part la faire diminuer et dit dune voix qui tentait dêtre neutre.

-Tu vois , la politesse aurait été de mise si j'avais respecté le choix que tu fait en te droguant pour fuir la réalité et par conséquent d’agir en immature, contrairement à toi … j'assume mes choix et je suis capable de vivre avec ce que j’ai fait alors porter du respect à une vipère comme toi …

William soupira et détourna le regard finissans par voir arriver le dealer … il sortis un billet de 100$ et le donna aux dealer … la regardant par la suite * ;


- … Arrête de depenser pour ses cochonnerie … tu va perdre des neuronne … et pour une grande fille … je suis pas supposer dire sa . jespere que avec se que je vien de lui donner ten aura asser ...

Will lui sourit sapprêtant a partir en silence.

Allait-il se contrôler ? Haine regardait avec satisfaction les poings de William se resserrer, mais il ne décocha pas le moindre coup. Elle hésita entre la déception et l'assurance de rentrer dans sa chambre intacte. Mais il était blessé, comme la jeune fille l'espérait, et c'était ce qui comptait.

Cette fois-ci, les paroles du garçon ne l'atteignirent pas. Elle relevait la tête, hautaine, sachant pertinemment que William parlait de cette façon car il n'avait jamais goûté à la drogue. Ce genre de personne est très reconnaissable. Tout de suite, parler du cerveau. Parfois d'autre chose. Après, il faut dire qu'on se ruine avec. Elle avait tellement entendu ce genre de discours. Ce sont les gamins qui se droguent. Bien sûr. Secouant imperceptiblement la tête, elle entendit quelqu'un la héler par un faux nom. Oui, son dealer. Il tombait bien mal celui-là.

Il s'arrêta en chemin en voyant William, mais s'était tout de même décidé à venir à eux. Nerveuse, Haine croisa les bras, sans lâcher le québecois du regard. L'homme devait avoir la trentaine, un habitant de Sydney comme on en croise tous les jours. Mais il avait de l'expérience dans le domaine, ce qui le différait de tous les autres citoyens ordinaires. Ce fut tout de même la première fois pour lui qu'un garçon anti-drogue paie la dose d'une de ses clientes. En voyant William sortir son billet, Haine espérait qu'il n'oserait pas le faire, écarquillant des yeux. Mais... si.

Il osait réellement la ridiculiser devant cet homme ? De cette façon ? Serrant la mâchoire, Haine ne le quitta pas des yeux, compléta l'argent donné par William avec quelques billets supplémentaires et arracha une petite boîte des mains du dealer, sans dire un mot de plus. Content de ses recettes, il partit se manifester, comptant son argent en chemin. Quant à la jeune fille, folle de colère, elle se mit à la poursuite du garçon. Elle ouvrit la petite boîte de médicaments, posa l'un des cachets colorés sur sa langue et cacha le reste sous son obi. C'est alors qu'elle se manifesta.

« Hé, White ! »

Une fois à sa portée, elle se mit face à lui et lui décocha un coup de poing fort bien placé dans l'estomac. Le coup pouvait être puissant ou non, il donnait le même résultat à tous les coups : la victime se plie en deux, voire s'évanouit. Haine espérait que William n'arrive pas à ce point et dès que son visage fut au même niveau que le sien, elle le prit entre ses mains, le fixant d'un regard assuré et malicieux. Ses lèvres se posèrent alors immédiatement sur les siennes.

Quoi de mieux pour ne pas éveiller les soupçons des passants ? Se collant de tout son long au Québecois, la jeune japonaise prolongea le baiser, essayant de franchir la barrière de ses dents à l'aide de sa langue dansante. Lorsqu'elle sentit la résistance du garçon faiblir, Haine, telle un serpent agile, immisça sa langue contre celle du garçon, menant la danse avec assurance. Et puis ? Oups, aurait-il déjà avalé le petit cachet d'ecstasy qu'elle voulait lui donner ?

William sortie de la rue en silence se dirigeant vers le campus en silence en ayant assez vue comme sa. Il détourna le regard et sortis de la rue. Il marcha lentement a travers la foule fixant le plafond quand soudain il entendu haine s’approcher de lui et lui crier après. Il se retourna et reçus un cou de poing aux ventres il nu pas mal mais eux le souffle couper, il se plia en deux cherchant sa respiration. Il rougie en sentant ses main sur ses joue et quand elle l’embrassa il ne pu que rougir davantage résistant aux début il sentit alors son corp contre le sien il rougie et fini même par pauser ses main sur ses hanche sens pour autant lenlacer finissans par la laisser faire entrouvrans la bouche , il avala alors quelque chose insertain de se que sétait passer.


*je … wow … elle embrasse aussis bien que ayumai … pourquoii … pourquoi es-ce-que elle avais fait sa , merde surtout apres mavoir frapper elle es folle ou quoi … et plus important encore , quesquelle ma mis dans la bouche *
- Mouais , sa parrais que tu es passer experte dans le domaine , maintenant Quesque tu ma fait avaler …

Il la regarda son front coller contre le sien les yeux dans les yeux son regard a moitier neutre a moitier euphorique . il se mordilla la lèvre ayant envie de lembrasser de nouveau mais il pouvais pas se le permettre . Il ne devais pas flancher et lui laisser lavantage. Il sourit et la regarda retirant ses main le mettant dans les poche de son jean attendant sa reponse.

Lorsqu'elle s'assurant qu'elle n'avait plus le cachet d'ecstasy contre la langue, Haine rompit le baiser. Pas trop brusquement, parce que le pauvre William n'allait plus rien comprendre. Déjà qu'il devait être un peu perturbé. Par contre, elle ne s'attendait pas à une telle facilité pour lui faire avaler la drogue. Ce garçon était... facile. C'est tout.

La jeune fille lança un regard dégoûté envers William. Experte, elle ? Allons, ça faisait bien quatre ans qu'elle n'avait pas embrassé quelqu'un. La dernière et première personne étant, bien entendu, son frère aîné. Evidement, cela ne rata pas, Haine détourna le regard, nostalgique. Son frère... Quand voudrait-il lui reparler ? Elle l'ignorait. En regardant de nouveau William, elle fut prise d'une envie de rire. Son visage...

« Pff, tu es tout rouge ! Tu vas quand même pas me faire croire que tu étais pur et innocent, surtout après être passé entre les mains de l'experte ? »

Elle parlait d'Ayumi Kondô, bien entendu. Un sourire narquois illumina son visage, mais elle ne pouvait plus se retenir de rire. Elle hésitait entre le trouver mignon ou pathétique, mais ses joues rosies allaient en totale contradiction avec ses airs de dur à cuire. Posant une main devant sa bouche pour ne pas montrer ses dents au garçon, un geste naturel pour les jeunes filles bien élevées dans son pays. Se reprenant, elle souriait toujours, amusée par le garçon.

« T'inquiète pas, ce n'est pas méchant. Et puis, il paraît que les américains aiment bien les bonbons. »

D'un geste langoureux, elle se lécha la langue supérieure tout en le fixant. Si les choses suivaient aussi bien leur cours qu'en ce moment précis, Haine prévoyait de bien s'amuser. Avec lui bien sûr. L'heure de la vengeance avait sonné.

Cela faisait pas mal d'année que la jeune fille n'avait pas embrassé, mais aussi dragué. Mais bon, il en faut toujours assez peu pour se dérouiller. Et puis William n'avait pas l'air bien difficile à embraser. Surtout qu'à l'aide de ce petit cachet, le désir allait bientôt monter en flèche dans son cerveau, mais aussi dans son pantalon. Une petite heure, et les effets seraient visible. D'ailleurs, il commençait à se faire tard.

« Je n'ai pas envie de passer la nuit dehors moi, je rentre à Niwa. Pour ton information, il ne reste qu'une navette, et avoir une sanction ne m'intéresse pas. Fais comme tu veux. Mais si tu es intelligent, tu devrais savoir où te diriger. »

Lui adressant un petit sourire aguicheur, elle s'en alla en direction des navettes tout en détachant ses cheveux. Epars autour de son visage, ils lui donnaient un air félin. User de techniques généralement employées par les allumeuses était très loin d'être une habitude de Haine. Mais c'est l'exception qui confirme la règle, non ? Il faut bien une carotte pour attirer l'âne.

William remarqua son regard dégouter et ne pu que détourner le regard rougie légèrement honteux il l’entendu parler de ayumai. Soupira et répliqua*

- Tu mas surpris voila tout et honnêtement elle était du genre a tout vouloir faire alors chose … ses vrais je suis peut-être pas pur mais j’ai jamais été un player.

William fini par comprendre se quelle avais mis dans sa bouche lors de se baiser il la regarda perplexe elle venais de le droguer … et il ressentait rien… la proportion devais pas être assez grande , du moins ses se qu’il espérait .

*hé puis quoi encore je suis pas américain de tout façons et j’aime pas les bonbon de se genre merde… de l’eau il me faux de l’eau je vais diluer la pilule … elle fera moins effet , enfin jespere.*

Will regarda la jeune femme lorsqu’elle se lécha la lèvre supérieur , il rougie et puis soupira fixant le sol se prenant un cigare pour se calmer un peu , il l’alluma et la regarda partir ne pouvant s’empêcher de la regarder la regardant ne pouvant pas vraiment sen empêcher . Il n’alla pas jusqu’a la mâter, mais la différence était mince. Il soupira puis la suivie Achetant deux bouteille d’eau dans le dépanneur en ouvrant une et en commençant a la boire rentrant dans la navette s’assoyant a coter de continuant a boire de l’eau. Elle pouvoir une mini inquiétude qui en vérité a l’intérieur était une peur, une peur de perte de contrôle … il fini par murmurer en la regardant.

- J’espère que tes contente de ton coups, m’avoir drogué comme sa … ses pas fair …

Il calla la bouteille d’eau ignorant si sa allais aider a la situation ou nuir. son autre main manipula le collier qu'il avait tripoter précédament , il soupira fixant le sol ne sachant quoi dire de plus ou faire , la bus se remplissant *

Habituée à Sydney depuis quelques années, Haine n'eut aucun mal à trouver son chemin vers les navettes. Elle n'était pas sûre que ce soit le cas de William et, de temps en temps, discrètement, elle lançait un regard derrière elle pour voir s'il la suivait. Lorsqu'il marqua une pause dans une boutique, la jeune fille ne l'attendit pas pour monter dans le bus. Elle ne put cependant s'empêcher de pouffer de rire lorsqu'elle le vit armé de deux bouteilles d'eau. Déjà déshydraté ? Il sera très mal barré dans une heure dans ce cas.

« Tais-toi et détends-toi. T'es vraiment pas sortable en fait... »

Elle avait prononcé cela dans un murmure, de façon à ce que les gens autour ne puissent pas s'imaginer qu'ils se connaissaient. Enfin, le mot était un peu fort. Certes, ils se côtoyaient dans les couloirs de Niwa depuis un an, mais c'était la première fois qu'il se parlait. Et pour une première conversation, elle avait été musclée. C'était la première fois depuis des mois que Haine avait l'impression d'avoir droit à autre chose que la routine, ça changeait. Peut-être que sa relation avec William ne s'étendra pas plus loin que ce soir, mais au moins elle aura été riches en émotions. Et encore, la soirée n'était pas finie.

Le bus démarra enfin. Assise à côté de la fenêtre, elle plongea son regard dehors, le menton posé sur la main. Le paysage était rouge, chaud. Il ne faisait aucun doute que c'était l'été en Australie. Soudain, elle se souvint qu'elle avait une connaissance à côté d'elle. C'était rare, et en y repensant, il n'y avait qu'avec Andreï que Haine faisait ses trajets jusqu'à Sydney. Autrement, elle était toujours assise seule. Une présence pour la première fois depuis un an, ça vous fait quand même quelque chose. C'est pourquoi elle le fixa d'un air observateur.

« C'est marrant que tu rougisses autant. Tu as chaud ou c'est moi qui te fait de l'effet ? »

Son expression était aussi neutre que la Suisse, et c'est d'un geste agile qu'elle posa sa main sur le front du brun. Haine secoua légèrement la tête pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas de température, avant de plonger la main dans son sac. Y extrayant sa petite boîte, elle choisit un petit cachet azur, sur lequel était dessiné un visage heureux, et le goba sans sourciller. Après l'avoir rangé, elle s'empara plus ou moins brusquement du reste d'eau qu'avait William et but à même pour faire passer l'ecstasy. Il ne restait qu'une demi-heure approximativement avant que le cachet ne fasse effet chez lui.

Will fut surpris par se quelle venais de lui dire elle lui demandait de se taire et de se détendre , qu’es ce qu’elle avais en tête celle la … le narguer le droguer puis lui dire de se calmer et de manière a se qu’il sois la seul qui l’es entendu . Il soupira détourna le regard et tenta de sa calmer espérèrent faire diluer la drogue pour ne pas quelle l’affecte trop …en fait il ignorais qua chaque gorger qu’il buvait il se rendait plus vulnérable. Il déposa sa bouteille ayant bus un peu près la moitié de se qu’il possédais , sois une bouteille .
Ses alors quelle le regarda comme si il il y avais quelque chose qui la tracassais elle parla et will ne plus que rougir davantage bouche-bée . Elle posa alors sa mains sur son front et de faire un geste de tête lui confirmant que s’était pas la température , il fixa le sol.

*hé , merde ses quelle fait exiprès ou quoi … et ses quoi cette question … pourquoi elle en prend une aussi … elle en a pas assez de lavoir droguer il faut quel en prennent également *

Will attendu quelle prenne sa fameuse pilule et soupira la regarda trouvant enfin une réponse a lui dire .

- Je doit le voir comme une question piège ou quoi … hé puis ton attitude aide pas vraiment a la situation .

Will la vue alors caler l’autre bouteille qu’il avais acheter incertain et douteux … il se donna une claque dans le front avec sa main se traitant d’idiot … il venais d’accélérer le processus et pas le diminuer et l’éparpiller … sinon elle n’aurais pas bue d’eaux .

- Jai fait une boulette en buvant cette eaux pas vrais … alors ses quoi quelle fait ta pilule a par rendre le bonheur momentanément ..

Will avais murmurer en respect pour celle-ci qui voulait surement pas que tout le bus sache quelle se droguait. Il jeta un cou d’œil a lexterieux sachant quil arriverais bientôt a l’école.

Le temps passait vite, bientôt ils seraient à Niwa. Haine fixait le paysage extérieur tout en rebouchant la bouteille, essayant d'estimer à peu près l'heure à laquelle le bus arriverait. William lui parla alors, ce qui la déconcentra. Elle glissa son regard sur lui, ignorant sa remarque.

« Arrête de parler, White. »

Dans un soupir, elle lui rendit son bien et lança un regard méfiant vers les autres passagers. Aucun ne s'intéressait à eux, ce qui la rassura momentanément. Tant mieux. Posant son bras sur l'accoudoir, elle pencha la tête et se décida enfin à répondre au garçon.

« Disons que... Boire de l'eau aidera la petite merveille à se dissoudre, c'est tout. Après, tu te sentiras bizarre, tu tituberas, tu tomberas par terre et tu t'évanouiras. »

Tout en regardant le jeune homme, la demoiselle en kimono sourit d'un air narquois. Allait-il la croire ? Peu importait, tant qu'il ne créait pas un mouvement de panique dans le véhicule. Haine fit glisser à l'aide de sa main ses longs cheveux ébène sur son épaule droite, tout en laissant son regard se diriger sur son obi. Tout allait bien, son vêtement était apparemment bien arrangé malgré les aventures dans Sydney.

« En réalité, ça te permettra simplement de te sentir vraiment bien. De ressentir le bonheur, comme tu le dis. Tu seras en extase, tu aimeras le monde entier. Et tu comprendras alors pourquoi je prends de la MDMA. »

Elle se souvint alors des autres effets de cette drogue, ces effets dont elle n'avait auparavant jamais profité parce qu'elle s'était toujours arrangée pour être seule les quelques heures où l'ecstasy coulait dans ses veines. La jeune fille était persuadée que cela intéressait William au plus haut point, pour se rassurer ou au contraire craindre le pire, mais elle préférait lui réserver la surprise. De toute façon, le laisser seul durant plusieurs heures, en proie à des sentiments et des émotions qu'il ne connaissait pas était impensable. Si un membre du personnel le repérait, Haine serait aussitôt mise en cause. Certes, ils ne s'étaient jamais parlé autrefois, mais il ne suffit parfois que d'une soirée pour tout faire basculer.

Haine était de ceux qu'il ne fallait pas chercher. Mais cela, peut le savait encore aujourd'hui.

« On y est bientôt. Ne t'éloigne pas de moi si tu veux rester en un seul morceau. »

Elle ne faisait pas référence à la drogue en murmurant ces mots, mais plutôt à ce qu'il pourrait endurer s'il la balançait à qui que ça soit.