La nuit précédente avait été des plus longue, le voyage liant le japon à l'australie était des plus opressant. Le regard plongeait dans les paysage défillant au file des heures, la jeune femme réfléchissait à cette nouvelle vie qu'elle avait tant éspérée. L'avion prit un peu de retard mais pas assez pour que la jeune femme arrive trop tard pour rentrer sur le campus.
Elle ne put dormir, dés sont arrivée, elle s'était simplement plongée dans les dossiers qu'on lui avait mit a disposition.

Le travaille peut être concidéré comme une sorte d'échapatoir. Pour Aona c'était simplement une chose lui permettant de ne pas prendre en compte son propre passé. Assise sur ce lit froid qui aller être pour ses prochains mois sont repair, la jolie brunette lisait chaque dossier et noté sur ce petit carnet qu'elle emmenait partout des anotations sur chacun d'entre eux. Ce qui intéréssée Aona, ce n'était pas leur état actuelle mais le pourquoi du commencement de tout sa. Pour elle, on n'état pas un meurtrier sans raison, on ne voler pas pour le plaisir et on n'était pas violent par bonheur. Pendant ses études, elle avait pu croiser pas mal de cas mais rien a voir avec ceux entrant en compte ici. Ce métier était choisi, elle aimait ce qu'elle faisait et naïvement elle pensait que tout le monde avait besoin de l'aide de quelqu'un et pour elle, ce quelqu'un n'était autre qu'elle. C'est en lisant ses dossiers qu'Aona s'endormit.

Quand le soleil vint frapper a sa fenêtre éclairant ce doux visage, que la jeune femme ouvrit doucement les yeux. C'était trop calme, cela perturba la journée de la brunette. Aona resta 8 heure dans ce nouveau bureau, un bureau pour l'instant impersonnel, des murs blanc, un bureau droit posait au font de la salle. La réfléxion de la décoration de cette salle se ferait plus tard car aujourd'hui elle n'avait pas la tête à cela. La jeune femme resta donc dans cette salle pendant 8 heures éspérant qu'on vendrait de son plein grés la voir mais il ne fallait pas trop éspéré. Elle sortit alors de la salle la fermant a clef avant d'allée à la cafetèria simplement pour prendre une pomme. Elle la mangea alors sans posait son regard autour d'elle, plongeait dans ses propes pensées.

Ce soir là, elle fut prise de panique dans cette chambre devenue la sienne un peu plus tot dans la journée. Elle chercha alors un endroit vide afin de réfléchir au calme. C'est sur le toit de ce batiment qu'elle se réfugia. Aona s'asseya contre le mur ramenant ses jambes contre sont torse et croisant ses bras sur celle-ci. Sont regard se voilà avant de laissait place aux larmes. La jolie brunette était ici depuis 24H et elle avait déjà se ressentie qu'elle avait peut étre viser trop haut.
La remise en question n'est pas un signe de faiblesse seulement un signe de respect. Parlons du passé, différent pour tout le monde et déterminant pour chacun. Son professeur lui avait dit qu'une personne battue dans sont enfance avait deux chemin distinct, pour le premier il réhitérera ce même geste de multiple fois et pour le second, il dévelopera une amnésie parciel lui permettant de haïr la main leste qu'on avait put avoir contre lui mais aussi à ce protéger. Elle ne revoyait pas cette scène par pur plaisir elle se revoyait a ses six ans enfermait dans le placard de la cuisine par sa propre mère. Un bruit retint sont attention, elle sécha rapidement ses yeux et se leva. Elle passa rapidement l'endroit au crible mais la nuit étant tomber depuis dejà quelque heures, Aona ne pouvait pas tout distinguer.

"Qui est là ?" Dit elle d'une voix plutôt forte et pleine d'assurance.

Spoiler:

Une journée terne en perceptive. Pourtant la journée aurait pu être agréable. Le temps l'était lui! Mais Ayumi Kentô était de mauvaise humeur. C'était un jour où à peine levée, on sentait que se serait une journée pourri. C'était un jour où la moindre chose l'agaçait, allant de la mouche qui se cognait à sa fenêtre et qui l'avait forcer à ce lever plus tôt que prévu ou au gens qui se trouvait sur se passage. C'était un jour où il aurait mieux fallu rester couchée.
Après avoir été provoqué par cette stupide mouche, Ayumi descendit manger. Mais un abrutit avais renversé quelque chose par terre dans le couloir. En posant le pied dessus, elle fit une glissade mémorable. Elle se releva et se massa le postérieur :

"Je savais que cette journée allait être un supplice mais là, il faut avouez qu'elle commence fort."

Et comme elle l'avait prédit, ce jour paisible pour les uns fut une horreur pour elle. Y'a des jours avec et y'en a sans! Et aujourd'hui était visiblement un jour sans. Sans chance, sans bonne humeur, sans repos!!! En effet, elle a accumuler boulettes, bleus sur le corps, et trébuchements en tout genre tout au long de la journée. La maladresse fut sa seule compagne de toute la journée. Mais elle se serait bien passé de cette accompagnatrice pour retrouvé Madame la solitude qui était son amie habituelle.
Ayumi avait déjà connu des jours comme celui-la. Si la journée commençais mal, il était presque certain que le reste serait pareil. Elle n'était ni croyante, ni superstitieuse, mais là il fallait avouez que quelque chose s'acharnait sur elle. Une force Mystique qui s'ennuyait et qui s'était dit :

"Tiens, cela fait longtemps que je n'est pas embêter notre chère Ayumi kentô. Et si,aujourd'hui je lui faisait passer une journée dont elle se souviendra!"

Et elle allait s'en souvenir, en effet! Demain, quand elle se verra dans le miroir, elle verra toute les bosses, bleus et égratignures qui auront pousser pendant la nuit sur son corps. Mais elle se disais aussi que demain serait un jour meilleur. En même temps, cela ne pourrait pas être pire!

En fin de journée (plus que quelques heures et la journée serait enfin fini ^^), elle décida de pousser sa chance au maximum et monta sur le toit de l'établissement. Si elle tombait, ça ferait plus mal que tout ce qu'elle avait eu au cour de ce jour abominable. Elle ne s'approcherait donc pas trop du bord. Elle aimait bien cet endroit car il était souvent tranquille. Surtout tard dans la soiré. Il faisait déjà nuit quand elle arriva en haut. Cela tombait bien, elle pourrait admirer le ciel avec ses étoiles et la lune. La lune était l'astre qu'elle préférait. Une faible lueur qu'elle pouvait admirer et qui avait le pouvoir d'influencé les humains. Un astre vu de la terre entière et pourtant dépendant du soleil. Elle trouvait qu'elle avait des points communs avec la lune. En effet, elle était souvent admirer pour sa beauté mais en même temps tellement inaccessible a cause de ce qu'elle avait vécus. Mais en même temps, pour continué d'exister, elle avait besoin de l'aide et l'affection des autres. Un contraste surprenant mais tellement vrai.
Elle ouvris la porte pour aller sur le toit et commença à avancer. C'est alors qu'elle sursauta. Apparemment, la journée n'était pas finie en émotions. En effet, elle n'était pas seule sur le toit. Une autre personne l'avait devancer. Vu sa voie, c'était une fille. Elle dit :

"Qui est là ?"

La voie avait l'aire surprise et un peu voilé comme si elle venait de pleurer. Ayumi ne put s'empêcher de répondre :

"Heu moi!... Enfin Kentô Ayumi je veux dire. Et vous qui êtes vous? Si je dérange je peut partir. J'ai l'habitude de toute façon puisqu'aujourd'hui, rien ne va. Je peux même pas être seule!"

Elle avait dit la dernière phrases plus bas que le reste. Le ressentiment et la mauvaise humeur perçaient sa voie. Elle attendit une réponse de l'autre jeune femme...

La noirceur de la nuit laissait aucune ombre passé. Le toit mal éclairer ? Non plutôt pas éclairer du tout donnait a Aona le sentiment d'être aveugle. Sa tête se reposa sur ses bras quand elle entendit une voix qu'elle qualifierait de tendu répondre a sont interrogation.

"Heu moi!... Enfin Kentô Ayumi je veux dire. Et vous qui êtes vous? Si je dérange je peut partir. J'ai l'habitude de toute façon puisqu'aujourd'hui, rien ne va. Je peux même pas être seule!"

Dans un premier temps elle ne releva pas cette phrase si banal dans la bouche de personne n'ayant aucune envie de se retrouvait face a quelqu'un. Puis le nom de la jeune fille raisonna dans sa tête. Elle chercha rapidement dans sa mémoire, Ayumi ... Ayumi ... zut c'était le dossier sur lequel elle s'était endormit. La jolie brunette chercha dans sa mémoire les quelques lignes qu'elle avait eut le temps de lire. Faut dire qu'à ce moment même elle n'avait pas trop la tête a réfléchir. Elle répondit alors d'une voix plus douce que la première fois cachant sont manque de motivation.

« Je suis Aona Takerie. Vous ne me dérangez pas. »

Elle n'ajouta rien d'autre. Le règlement était claire aucune forme de drogue sur le campus. Mais Aona avait une manie dont elle ne pouvait empêchée. Elle chercha rapidement dans sa poche et en sortit une cigarette et un briquet. Elle l'alluma et regarda en direction du vide.

« Je suppose que vous n'avez pas envie de parler. »

Dit elle entre deux fumée de cigarette. Fallait savoir une chose sur Aona, elle ne se présentat jamais comme étant psychologue, elle avait assez d'expérience pour savor que cela faisait fuir les gens comme la peste. L'image des personnes assisent dans sont canapé la regardant sans dire un mot l'afligeait plus qu'autre chose.

Spoiler:

dans cet établissement, Ayu ne connaissait personne de "normal". Ses connaissance avait toute vécu des choses horribles ou traumatisantes. La personne qui était arrivé sur le toit avant elle ne devait sans doute pas échappé à la règle. Sinon, comment ce fait-il que cette élève soit seule sur le toit a une heure aussi tardive. C'est ce que Ayu se demanda. Bien sur elle ignorait que cette Aona n'était pas du tout un élève. Elle l'aurait pourtant su si elle avait lus la liste du personnel de l'établissement. Mais elle avait très vite fini en marque page pour l'un de ses roman. A moins qu'elle soit dans la poubelle! Enfin bref, Ayu aurait voulu que cet "élève" ne soit pas là mais tampi, elle voulait aussi admirer le ciel nocturne. De plus Aona avait dit que Ayumi ne la gênait pas. Tant mieux! Elle resterait ici sans rien dire. Mais juste après, l'autre jeune femme rajouta :

"Je suppose que vous n'avez pas envie de parler."

Comment l'avait-elle deviner? C'était une devin! Ayumi avait-elle été si radicale dans la seule phrase qu'elle avait prononcé sur ce toit? Non, Aona avait du s'en douter a cause justement de son silence obstiné. Elle se rapprocha du bord et répondis à sa question qui n'en était pas vraiment une (c'était plus une affirmation qu'autre chose!!!) par un simple :

"Hum"

Mais la fille fit quelque chose qui fit sortir ayu de son silence. En effet, bien qu'il fasse nuit, Ayumi vit Aona allumé une cigarette. Ainsi, avec la lueur de la clope, elle pu voir quelque trais physique de la jeune femme. Par exemple, elle vit qu'elle que la jeune fille avait un visage fin et des cheveux brun assez cour. Elle lui dit :

"Hey, fumer n'est pas permis ici. T'as eu où tes clopes. Moi j'arrive pas a m'en procurer car ils surveilles trop ce que je consomme. Au cas ou...Enfin bref, y'a moyen que tu m'en file une. Ça fait longtemps que je n'est pas pu sentir cet arôme dans ma bouche. Peut-être que ma journée va finalement se terminé sur une touche de bonne humeur."

Ayumi avait retrouvé son ton joviale habituel. Elle avait même dit plus de chose que dans cette journée pourri qu'elle venait de passer en une seule tirade. Elle tendis la main vers la jeune femme en espérant qu'elle accepte de la dépanner.

Pendant un cour moment, Ayu avait cru que la jeune personne ne la dépannerais pas. Elle avait cru que Aona garderait son trésor rien que pour elle. Un trésor si rare sur les terres de Niwa. Mais la jeune femme lui tandis finalement une cigarette. Ayumi la pris très vite comme si elle avait peur de rêver et de se réveiller. Elle sorti un briquet de sa poche. Elle ne le quittait jamais au cas ou elle tombe par hasard sur le chemin d'une clope. De plus, elle l'aimait particulièrement car il lui rappelais l'endroit où elle était née puisqu'on pouvait y lire : "I LOVE IRELAND". Elle l'alluma et mis le feu au bout de la cigarette. Elle inspira une longue bouffée et ne put se retenir de sourire. Cela faisait si longtemps qu'elle était priver de ce bonheur.
En rentrant ici, elle savait qu'elle n'aurait plus le droit à la drogue. Et après l'overdose qu'elle avait faite, elle ne s'en plaignait pas. Mais lui enlever la cigarette avait été plus difficile car elle fumait par plaisir et non par besoin.
Pendant que Ayu était en train d'apprécier sa première bouffé, Aona avait garder le silence. Mais au moment où Ayu allait en prendre une autre, elle lui dit :

" Je ne devrais surement pas te dépanner mais si je peux illuminée un petit peux ta journée c'est avec plaisir ! "

Ayumi fut surpris par cette phrase. On dirait un adulte qui dirait des truc du genre "il ne faut pas" ou "tu ne devrait pas". Ayumi lui répondis donc, un peu sur la défensive :

" Pourquoi tu ne devrais pas alors que tu es toi même en train de t'en grillé une? T'aurai été mal placer de me dire quelque chose comme" je ne peux pas te dépanné car c'est pas bien de fumer et c'est interdit ici." "

La jeune fille pouvait être impulsive et dire les choses telle qu'ils lui venaient dans la tête. Mais là, elle le regretta un peu. Alors elle s'empressa de rajouter :

"Mais une chose est sur, c'est que je te remercie de ta gentillesse. Il se peut, en effet, que tu ais réussi à égayer ma journée pourri. Seulement avec une cigarette! Je suis une fille bien futile quand on y pense. Pour me rendre le sourire, il suffit de me donner quelque chose d'interdit sous les lueurs de la lune."

Et pour montrer ses dires, elle se retourna face à Aona et lui souri de toute ses dents. le premier sourire de la journée. Mais mieux vaut tard que jamais. Ensuite, Aona dit une chose très psychologique :

" Le monde a sont lots de regret faut continuer à vivre malgrés tout."

C'est quoi cette nana?!? Pourquoi elle sort cela tout d'un coup? Mais en même temps, Ayu y réfléchit. "Son lot de regret", "continuer à vivre malgrés tout" : ce sont des mots qui lui correspondent bien. Malgré son passer tortueux et honteux, elle essaye de relever la tête dignement et se reconstruire. Elle veut ne plus jamais avoir honte de son comportement et de ses actions. Et ce lycée était sa dernière chance!!!
Elle regarda sa "camarade" et lui dit :

"Certe, continuer à vivre est une chose courageuse. Mais on ne peut pas oublier. Et moi j'aimerais continuer à vivre sans penser à tous ces regrets dont tu parles!"