ah! L'appel de la nature! [avec Seika]

Sujet: ah! L'appel de la nature! [avec Seika] Mer 04 Mai 2011, 7:48 am

Ayalis posa ses valises par terre et leva les yeux vers le portail du campus. "Campus Niwa Naishou. Pour adolescents à problèmes". Bon. Au moins elle savait où elle allait, et pourquoi elle y allait.
Malgré ce slogan annonciateur, elle constata avec plaisir que l'endroit était beau, verdoyant, et, chose qui n'a pas de prix, il n'y avait pas de grillage avec du barbelé dessus, ce qui la changeait agréablement de la maison de correction grise qu'elle venait de quitter. Là-bas, il y avait des barreaux aux fenêtre, des dogs allemands dans tout les coins pour surveiller, et la seule verdure consistait en quelque touffes d'herbes qui réussisaient parfois à percer dans les fissures du béton. En voyant les arbres dans l'allée, Ayalis eu le sentiment qu'elle n'en avait pas touché un depuis une éternité.
Elle se précipita à l'acceuil du campus pour annoncer sa venue et obtenir des renseignements divers. Non pas qu'elle était pressée d'y entrer, mais plutôt d'en ressortir. Elle venait de vivre ses premiers instants de liberté depuis presque 1 an et demi durant le voyage entre Sydney et le campus. Le psy avait réussi à convaincre son monde de la laisser faire ce trajet sans personne pour la surveiller, et elle lui en était très reconnaissante, seulement, assise dans un vieux bus rouillé à regarder défiler le paysage, elle ne s'était pas sentie si libre que ça. Elle serait bien descendue en marche pour aller se jeter dans le lac qu'elle avait vu de la fenêtre, mais arriver en retard a Niwa aurait été remettre en cause la fiabilité du psy. C'était loin d'être son objectif.
Ayalis écouta donc d'une oreille distraite les renseignement qu'on lui donnait, tout en pensant à ce lac, et a la nature environnante, qu'elle était si pressée de retrouver. Elle sortit de l'entretient avec seulement deux informations en tête:
Premièrement, elle était déclassée. On avait jugé qu'elle avait sa place dans les cas légers et non pas dangereux comme sa mère l'avait demandé. Le psy avait sûrement envoyer son propre dossier pour faire contrepoids. Il faudrait qu'elle le remercie.
Deuxièmement, le plan qu'elle tenait à la main, censé lui permettre de retrouver facilement son chemin. ça pouvait effectivement être utile.

Ayalis posa ses affaires en vitesse dans un coin du hall et sorti en courant. Elle esperait pouvoir retrouver ses valises plus tard... si elles avaient disparue... eh bien... elle improviserait. En passant le portail, Ayalis s'arreta soudainement pour regarder son reflet dans les vitres d'une voiture. Ses cheveux étaient bleus. Le même bleu qu'une piscine. Elle s'était dit que, si il faisait si chaud en Australie, elle avait aussi facile à mettre une couleur rafraichissante. Mais définitivement... ça n'allait pas. Pas du tout. Il faudrait qu'elle arrange ça.

Mais en attendant, elle avait mieux à faire. Ayalis arriva au lac en nage d'avoir couru autant. Elle envoya valser ses baskets à quelques mètres, et savoura la sensation de l'herbe sous ses pieds nus. Elle enleva également la chemise d'homme qu'elle portait, révelant un simple débardeur blanc en dessous et se jeta dans l'herbe fraiche face contre terre. Elle respirait pleinement les odeurs d'herbe et de terre humide. Elle roula sur elle même en rigolant. Une attitude si enfantine, mais tellement agréable. Retrouver la nature était sans doute sa plus grande joie à l'heure actuelle.
En pleine roulade, Ayalis cru aperçevoir quelqu'un, mais, emportée par son élan, elle était déja retournée dans l'autre sens avant de pouvoir s'assurer de quoi que ce soit. Néanmoins, en pleine rotation elle cria un grand "bonjour", au cas où il y aurait bien quelqu'un. Cela devait singulièrement donner l'impression qu'elle parlait toute seule, mais qu'importe. Elle freina sa course et fini sur le dos, elle tenta de voir la personne en se dévissant le cou, mais, se sentant proche du torticoli, elle finit par se retourner sur le ventre. Elle pris appui sur ses coudes pour pouvoir détailler l'autre personne.

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Une air pure était autour de moi, une air calme tellement paisible, je me demandais si c'était normal, je ne connaissait pas ça, j'ai toujours eue une atmosphère maussade autour de moi, enfin, sauf pour une période... du moins je le croyais. Ma vie a été ainsi, j'attire de mauvaise chose à ceux qui m'entoure, pourquoi? Je ne sais pas. J'ai peut être été maudite à la naissance, on ne voulait peut être pas de moi sur cette terre, donc on me punis, on punis aussi les gens qui ose m'approcher , comme s... en y repensant j'entendais bien les gens la prévenir , mais je ne voulait pas croire j'étais tellement heureuse... je ne pouvais pas le comprendre, je ne voulais pas l'avouer.

J'avais le regard tournée vers le lacs, il était si beau, si calme, j'aimerai être de l'eau, oui j'aimerai être comme l'eau de ce lac, je ne gênerai personne comme cela, je serai juste magnifique et les gens serai comme moi en ce moment tranquille et des gens m'approcherai de moi sans peur, et je ne pourrai pas leur causé de soucis. Je me rapprochait de l'eau trempant le bout de mes doigt, c'était assez agréable, c'était doux au touchée, mais l'eau était un peu froide, normal en cette période de l'année. Je pouvais discernée mon reflet dans l'eau , mes long cheveux noir rendait en temps normal mon ombre menaçante, mais l'eau la rendait un peu plus douce, paisible, en voyait cela j'esquissai un sourire. Cela me faisait un peu de bien.

Mes yeux se posa ensuite sur mes poignait, il y avait des marque dessus, certaine assez vieille, mais d'autre plutôt récente. J'avais essayer d'en finir plus d'aune fois, mais sans résultat, soit je me loupais ou soit quelqu'un m'en empêchait, mais mon envie d'en finir s'estompait un peu quand je me trouvais dans ce genre d'endroit seule, et paisible. Je me relevais don ramenant quelque mèche derrière mes oreille, et en continuant d'observée le lac.

Je partis donc dans mes pensée, mes cheveux valsant au gré du vent c'était très agréable, et j'aurais voulu que ce moment dure éternellement. Mais je fut rappeler à la réalité quand j'entendis au loin un « bonjours ». le fait d'entendre une voix me fit un peu sursauter, mais il fallait que je réponde à cette personne qui était très aimable de venir me saluer. Je tourna donc la tête vers et répondit avec une expression assez effrayante, sans que je le fasse exprès.

<< Bon...jours...>>

C'était toujours comme ça, de toute façon, quand je saluait quelqu'un je lui faisait peur et elle s'en allais en courant, je pense que même ici cela ne changerai pas, je faisait peur et attirait le malheur sur les autre, que je soit au japon ou ici, cela ne changerai rien, le scénario se répéterai encore et encore. Mais cela valais mieux si quelqu'un prenait de son temps pour moi, je lui porterai malheur, même si je n'en avait pas envie, c'est comme le dit Onni-san, La poisse ne se contrôle pas et je l'attire quoi que je fasse, sur ma famille, sur les gens qui venais me parler, c'est pour cela que Otou-san m'as envoyer ici, il ne voulait plus que je porte préjudice à notre famille, ou à la santé de Okaa-san.

Sujet: Re: ah! L'appel de la nature! [avec Seika] Mer 04 Mai 2011, 2:37 pm

Ayalis finit ses roulades juste au pied de la jeune fille et juste à temps pour entendre une salutation hésitante. Encore en pleine roulade, elle n'avait pas vu son expression lorsque la fille parlait. Elle se mis sur le ventre et mis son menton dans ses mains. L'autre étant accroupi près de l'eau, Ayalis était plus basse, et cela lui permis de voir le visage de l'inconnue, qui de face, devait être en partie mangé par sa longue frange. Ayalis fût frappée par ses cheveux. Ils étaient très longs, très noir, très raides. Mais finalement, ce n'était pas si étonnant. Elle était typée asiatique, ses cheveux étaient donc normaux. Elle avait de plus, un visage rond et une peau toute lisse, comme attendu de la part d'une chinoise.
Mais reflexion faite, Ayalis la voyait plutôt japonaise. Elle prononçait les "R" comme des "L", et cela faisait remonter chez l'ex petite fille gâtée le vague souvenir d'une soirée mondaine où elle avait tenu la jambe toute la soirée à un japonais, parce qu'elle n'aimait pas sa manière de prononcer les "R" ,qu'elle trouvait anormale. Ayalis eu un vague sourire en repensant à la manière hautaine qu'elle avait, du haut de ses 8 ans, de lui crier après et de lui dire qu'il était nul.
En tout cas, cette japonaise là ne respirait pas la joie de vivre. Pire. On aurait dit qu'elle avait peur d'Ayalis.
"Tu es japonaise, non ?"

Ayalis se mit à genoux en face de la jeune asiatique. Une idée la frappa soudain.
"Est-ce que tu viens aussi de Niwa Naishou?"
Après tout, il y avait majoritairement des étrangers dans ce campus, alors une japonaise, pourquoi pas. De plus, ça pouvais aussi expliquer sa mine si desespérée, la plupart des élèves ont des problèmes non ?

Revenant à son objectif premier, qui était quand même de se précipiter dans ce lac, Ayalis posa une troisième question, en se souvenant que la fille avait la main dans l'eau lorsqu'elle l'avait vu.
"L'eau est bonne ? A la base, je suis ici pour ça! ça fait des lustres que je me suis pas baignée. Et puis on approche de midi! Il commence à faire chaud non?!"
Sans vraiment attendre la réponse, Ayalis se mis debout et jaugea de la température de l'eau du bout du pied.
"Hum! fraîche! Finalement, je vais attendre que le soleil la réchauffe un peu" dit-elle en s'asseyant en tailleur à côté de la fille. Puis, avec un grand sourire elle lâcha :
"Essaye voir de sourire pour voir !? Je suis sûre que ça te rendra vachement plus mignonne!"
C'est vrai quoi ! c'est tellement dur de tenir une conversation avec quelqu'un qui donne l'impression de vouloir s'enfuir!

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La poisse , c'était quelque chose que je connaissait bien , je ne l'attirait pas sur moi, mais sur les autre, j'aurais tellement aimer que s'en soit autrement, mais ce ne fut pas le cas. J'étais donc condamnée à ne jamais pouvoir me lier avec quelqu'un sans lui attiré des ennuis, le terme maudit me correspondait assez bien au final. Cela m'arrangeait donc un peu de faire peur, je ne causerait pas d'ennuis comme ça, je resterai seule, dans ma bulle de solitude.

J'étais donc partie dans mes pensée, mais contre toute attente, la personne que je venais de saluer ne s'était pas enfuis en courant malgré l'expression effrayante que je venais d'afficher, Elle était rester là, et commençais même à me parler. Cela me faisait un drôle d'effet, un sentiment bizarre que je n'avait pas connus depuis longtemps, mais lequel? Non je ne voulait pas me souvenir, cela serait trop douloureux.

Quand la jeune fille m'adressa la parole je me figeais sur place, face à cette surprise, elle me demandait donc si j'étais japonaise. J'étais typée, cela était donc assez évident, mais la jeune fille voulait surement en avoir le cœur net... Mais j'allais peut être donner une mauvaise image des japonais, crée un malentendu immense, qui donnerait au gens de mon pays une mauvaise réputation. Je voulue répondre, mais elle ne m'en laissa pas le temps, se mettant à genoux devant moi et me demandant si je venais aussi de Niwa Naishou. Si elle me posait la question peut être que elle allait dans cette école.

Je répondis donc d'une voix faible et hésitante.

<< O...Oui... >>

Elle me demanda ensuite comment était l'eau, il était vrai que j'y avait trempé ma main pas longtemps auparavant, l'eau était fraiche mais c'était agréable. Qu'on but était donc de se baigné dans le lac, une bonne idée si on aime se baignée dans de l'eau froide, on était en début d'après midi, malgré le fait qu'il faisait assez beau, l'eau mettrai encore un peu de temps pour chauffé. Je voulu le lui dire, mais elle testa elle même sans attendre ma réponse, et oui elle trouvais l'eau trop froide pour se baigner.

Elle retourna ensuite sur mon cas, me demandant d'essayer de sourire, en expliquant que je serait bien plus mignonne comme ça. Cela me rappelais de vague souvenir, des choses que je voulait oublier, car ça n'apporterai rien de bon.

<< Heu... Gom...Heu... désolée, mais tu ne devrait pas rester avec moi... >>

Sur ces mots je commençait à m'éloignai d'elle, elle avait l'air si gentille, je ne voulait pas lui causée du tort, si je restais avec elle quelque chose de mal se passerai, comme d'habitude, si ça se trouve elle tomberai dans le lac et se noierai par ma faute, je ne voulait pas lui porté préjudice comme j'ai pus le faire auparavant, par ma faute tellement de gens ont souffert et j'aimerai que cela s'arrête, et pour cela , il faut que je soit seule.

Reculant sans regarder ou j'allais, mon pied glissa sur le bord de la berge et je tombais dans l'eau, les yeux fixée durant ma chute sur cette jeune fille. Durant les première seconde où je me trouvais dans l'eau j'essayais de remonté, mais laissa tomber en pensant que ce serait pas si mal de rester au fond de ce lac.

Sujet: Re: ah! L'appel de la nature! [avec Seika] Dim 08 Mai 2011, 8:13 am

La fille ne sourit pas. Cela dit, venant d'une pensionnaire de niwa naishou, ce n'était pas forcément si étonnant. Néanmoins cela souleva dans l'esprit d'Ayalis la question inévitable : Pourquoi y était-elle? Mais avant qu'elle ai eu le temps d'ouvrir la bouche, l'autre avait recommencer à parler, en baraguinant des choses dans le genre "ne me fréquente pas...". Sympa. C'était plutôt vexant, mais dans le fond, Ayalis en avait déja fait autant avec d'autres, alors elle ne pouvait pas vraiment lui en vouloir. Mais elle lui en voulait. Réaction de fille gâtée qui a toujours tout rapporté à elle. Naturel.
Toutefois, avant qu'Ayalis ai eu le temps de se plaindre un peu pour la forme, la japonaise tombait. Ayalis n'eu pas le temps de comprendre comment c'était arrivé, que déja l'autre entrait en contact avec la surface de l'eau, et tentait de ressortir la tête en dehors du liquide. Le visage d'Ayalis se fendit d'un sourire hilare, en attendant d'éclater de rire lorsque la fille referait surface, les cheveux devant les yeux, les yeux grands ouverts en se demandant ce qui venait de se passer.

Mais non.

Les remous dans l'eau finirent vite. -Qu'est-ce qui se passait?- Elle ne se noyait pas quand même. Bien sûr que non. Quand on se noie, on se débat, on fait tout pour garder la tête hors de l'eau...

Mais actuellement, il n'y avait aucune réaction dans l'eau, pas de mouvement.

De toute façon, si près de la berge, elle devait encore avoir pied, il ne pouvait pas y avoir une si grande dénivellation. Elle ne pouvait pas se noyer, même si elle ne savait pas nager.

Alors pourquoi elle ne remontait pas ? La question se faisait de plus en plus pressante dans l'esprit d'Ayalis. -Un suicide?- Elle faisait exprès de ne pas remonter? Impossible, dans ces cas là, le corp tire une sonnette d'alarme qui te force à remonter non ?

Non. Visiblement pas.

Les rides formées par l'impact de la japonaise et de l'eau s'éloignaient en cercles concentriques. Loin. Le temps qu'Ayalis se pose toutes ses questions, l'eau s'était quasiment réappropriée son aspect de miroir lisse et réflechissant. Le clapotis des vaguellettes venant mourir sur la berge s'était estompé.

Alors, seulement, Ayalis réagit.
"Mais elle se fout en l'air !!"
Avant même d'avoir réalisé, Ayalis était entrée dans l'eau jusqu'a la taille. Alors elle avait bien pied. Alors l'autre faisait bien exprès. Ayalis mit la tête sous l'eau pour tenter de voir quelque chose. Elle detestait avoir de l'eau dans les yeux et dans le nez... -pas le moment de penser à ça- Ayalis avisa une forme humaine dans un coin de son champ de vision. Elle saisit fermement un poignet et le tira brutalement en dehors de l'eau, le tordant violemment au passage. -Pas son problème, fallait pas avoir une idée pareil que se noyer sous ses yeux-. Tout le reste du corp suivit le poignet dans le bon ordre : avant-bras, coude, bras, épaule, poitrine, tête. -Parfait, On en demandais pas plus-.

Ayalis fit demi-tour et marcha vers le bord, tirant derrière elle la japonaise par le poignet, sans le moindre ménagement. D'ailleurs elle la tira également sur le bord par ce même poiget, ce qui ne devait pas être très agréable. -qu'importe! quand on cherche...-
Poignet qui était d'ailleurs recouvert de cicatrices horizontales plus où monis récentes, comme finit par le remarquer la sauveuse imprévue. -Suicidaire...- ça expliquait sa présence au campus.

Ayalis se laissa tomber à côté de l'asiatique. Elle avait les jambes en coton. Elle n'avait pas paniqué, non. Elle avait déja vu des suicidaires, et même des suicidés, et encore bien que la fille soit morte, c'était triste, mais ce n'était pas sa faute. Seulement, se voir d'un seul coup attribuer le rôle de sortir cette fille de l'eau avait été plutôt rude, pour elle qui ne connaissait le sens du mot reponsabilité que depuis un peu plus d'un an. Comprendre que c'était seulement sur elle que reposait le reste de cette affaire l'avait totalement destabilisé. Elle n'avait pas l'habitude de ça. Elle avait toujours été assistée, même à la maison de correction. Il y avait toujours eu quelqu'un pour réagir avant elle.
Néamoins elle se calma assez vite, et s'adressa à la jeune suicidaire.

" Non mais depuis quand on se suicide sur un coup de tête?"
Car elle en était sûre, vu l'expression de surprise adoptée par la japonaise au moment de la chute, ce n'était pas son objectif à la base.

Ayalis raccrocha enfin le sourire sur son visage et dit à l'autre d'un ton faussement protecteur
" Si tu veux te suicider, évite de le faire quand y'a quelqu'un d'autre, parce que le reflexe naturel risque fort d'être de te sauver."
Ayallis donnait l'impression d'expliquer à un enfant de trois ans pourquoi il ne faut pas jouer avec le feu. Peut être que comme ça, l'autre se rendrait compte combien elle était ridicule.

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